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Toihir Daoud dit Mdama serait 1 des candidats en 2021

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Toihir Daoud dit Mdama serait 1 des candidats en 2021

Soilih Mohamed Soilihi le financerait à 4,3 milliards d’euros

Par ARM

       Dans la lutte engagée contre le dictateur fou et terroriste Assoumani Azali petit-fils de Boinaheri, les faux opposants pullulent, se signalant par leur volonté de semer la haine et la zizanie dans les rangs de la vraie opposition (au fait, que devient l’avocat déchu Saïd Larifou dit L’Art-Fou?). Toihir Daoud dit Mdama, auteur talentueux de Les Comores: Tournante et tourmente, dont il prépare une réédition enrichie, n’appartient pas à la catégorie infâme et infamante en question. Bien au contraire, il est arrivé à prouver son talent politique inouï et la sincérité de son engagement en faveur de l’État de Droit, de la démocratie et de la bonne gouvernance aux Comores. C’est un fait incontestable.

Cela fait des aigris chez les «lèche-bottistes» du hideux et épouvantable Msa Ali Djamal, et des jaloux dans les rangs de l’opposition. Suivez mon regard.

Toihir Daoud dit Mdama étant une valeur politique sûre et un vecteur porteur d’espérances dans un pays qui scrute l’horizon à la recherche du moindre signe annonçant la fin de la dictature de Mitsoudjé, il dérange certains de ses «camarades» de l’opposition, qui font tout pour le faire passer pour «un assoiffé de pouvoir» qui ne milite pas pour le pays, mais pour sa candidature, alors que la dictature est toujours en place. Cette accusation est d’autant plus ridicule que l’Ambassadeur Soilih Mohamed Soilihi est accusé par les mêmes, qui prêchent le faux pour connaître le vrai, de disposer de 4,3 milliards d’euros pour financer cette candidature. Les 4,3 milliards d’euros correspondent à la somme imaginaire que la dictature de Mitsoudjé prétend avoir récoltée lors de sa conférence bidon de Paris des 2-3 décembre 2019 (justement, où est «l’argent» de la conférence?).

Au lieu de se focaliser sur la lutte contre la dictature de Mitsoudjé, des prétendus opposants sans dessein politique, ni destin politique, complotent contre de vrais opposants. Ce n’est pas bien.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 18 mars 2021.


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4 Comments

  • Azad

    mars 18, 2021 at 5:14

    Le pays a perdu le Nord depuis 2016. Un président élu par un scrutin à 104,41% de votant caractérise l’esprit malsain des trois finalistes. Le peuple y a manifesté sa passivité devant des fraudes réalisées à son nom. Le narawaze aurait du persister pour redonner au peuple sa souveraineté électorale. Et bien non. On a laissé faire. Par ce truchement AAB et son clan sont parvenus. Ce clan, s’ ayant fait remarqué par l’assassinat de notre frère Apache fixé sur le capot d’un véhicule et présenté à Moroni comme un trophée, a commencé par gouverné par le dictat le plus éhonté. La su pression de la commission anti corruption fut juste une autorisation à piller le pays. L’assassinat de la cours constitutionnelle ait marqué la fin des règles supposées démocratiques. Le muselement du parlement, l’acte de dc de la dite souveraineté nationale. Alors les assises détournées au profit de la naissance d’une dictature ne furent qu’une utopie. Le voleur de la confiance du peuple ait indiqué que les assises seraient suivies d’un référendum et des élections présidentielles dont il serait candidat. Autrement, il démissionnerait du poste qu’il s’attribué en 2016 pour une transparence. Mais comment savoir que les assises allaient indiquer, entre autre, un référendum ou des élections et ce avant que l’ état des lieux des précédentes politiques nationales ne soit fait? Et là aussi, le peuple reste les bras croisés. Des scrutins organisés et validés par un ceni et une cours suprême partisans ont donné les résultats attendus. Puis cerise sur le gâteau, les élections communales et legislatives. Au vu de tous , il n’y a pas d’élections. Hormis les juges et organisateurs électoraux qui ont brillé par leur lâcheté, Boinachari a choisi les maires et députés à la place des citoyens. L’usurpation de la décision du peuple sur le choix des gouverneurs ne lui était pas suffisant. Alors, il serait sage de croire que Adjali Boinachari ne quitera le pouvoir que par une insurrection. Et là le boulot reste à faire s’agissant de l’éveil de la conscience nationale. A moins que dieu s’en occupe et vite

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  • Azad

    mars 18, 2021 at 5:30

    Le pays a perdu le Nord depuis 2016. Un président élu par un scrutin à 104,41% de votant caractérise l’esprit malsain des trois finalistes. Le peuple y a manifesté sa passivité devant des fraudes réalisées à son nom. Le narawaze aurait du persister pour redonner au peuple sa souveraineté électorale. Et bien non. On a laissé faire. Par ce truchement AAB et son clan sont parvenus. Ce clan, s’ ayant fait remarqué par l’assassinat de notre frère Apache fixé sur le capot d’un véhicule et présenté à Moroni comme un trophée, a commencé par gouverné par le dictat le plus éhonté. La supression de la commission anti corruption fut juste une autorisation à piller le pays. L’assassinat de la cours constitutionnelle ait marqué la fin des règles supposées démocratiques. Le muselement du parlement, l’acte de dc de la dite souveraineté nationale. Alors les assises détournées au profit de la naissance d’une dictature ne furent qu’une utopie. Le voleur de la confiance du peuple ait indiqué que les assises seraient suivies d’un référendum et des élections présidentielles dont il serait candidat. Autrement, il démissionnerait du poste qu’il s’attribué en 2016 pour une transparence. Mais comment savoir que les assises allaient indiquer, entre autre, un référendum ou des élections et ce avant que l’ état des lieux des précédentes politiques nationales ne soit fait? Et là aussi, le peuple reste les bras croisés. Des scrutins organisés et validés par un ceni et une cours suprême partisans ont donné les résultats attendus. Puis cerise sur le gâteau, les élections communales et legislatives. Au vu de tous , il n’y a pas d’élections. Hormis les juges et organisateurs électoraux qui ont brillé par leur lâcheté, Boinachari a choisi les maires et députés à la place des citoyens. L’usurpation de la décision du peuple sur le choix des gouverneurs ne lui était pas suffisant. Alors, il serait sage de croire que Adjali Boinachari ne quitera le pouvoir que par une insurrection. Et là le boulot reste à faire s’agissant de l’éveil de la conscience nationale. A moins que dieu s’en occupe et vite. Dans le cas contraire les rafles par les forces de desordres vont se multiplier, les arrestations illégales légions, les condamnations sans jugement devient la justice et les assassinats une habitude. Toute cette répression juste pour s’être exprimé ou pour avoir été soupçonné de tout et de rien. Un pays où on peut être condamné pour avoir pensé, parler ou marcher ne peut être que la propriété d’une nation en voie de disparition. Les comores ou Com mot.

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  • Azad

    mars 19, 2021 at 5:58

    Aucun comorien ne peut ignorer les effets maléfiques du pouvoir de Mitsoudje et particulièrement du clan Azali. Les Comores ont suffisamment de femmes et d’hommes instruits pour ne plus laisser le peuple souffrir dans le silence et disparaître dans l’indifférence. Je veux bien croire en la capacité de Mdama à sortir le pays de ses grottes mais comment imaginer qu’une population de près d’un million puisse compter sur un homme seul? Lui comme nos femmes et hommes bien cultivés ont souvent fermés les yeux devant l’enfumage des politicards ayant mis à mal l’essentiel des règles démocratiques. Près de 45 ans d’indépendance ne constitue pas un segment large pour voir les fruits de notre souveraineté Aujourd’hui. Pendant la période Soilihiste, les cadres politiques du pays ne pensaient que prendre le pouvoir refusant de bosser avec unnhomme idéologiquement opposé. De mai 78 à novembre 89, le parti unique de nos pauvres féodaux a gouverné avec les mercenaires sous l’appuie de la France en complicité du pouvoir ségrégationniste d’Afrique du Sud. Après l’assassinat d’Abdallah, Djohar s’est approprié le pouvoir et géré le pays avec une petite mafia ( Tahomba,……) Jusqu’à sa chute. Comme Ali Soilih, Taki s’est fait supprimé après 2 ans et demi à la magistrature suprême. Pendant toute cette période, à l’exception du FD, le reste de la population y compris nos échanges s’est tue. Azali, va saisir’cette occasion pour prendre le pays en otage se servant des forces armées dont il avait la charge. Pendant 2 ans Azali va dicter au pays toute sa brutalité. Par des élections dont Azali fut seul au 2eme tour, ce dernier va continuer son travail de Malfaiteir de 2002 à 2006. Le 26 mai 2006, il va quitter le pouvoir’comme un mal propre et’ce avec un bilan catastrophique sur’tous’les plans. 10 ans après il est parvenu à retrouver les reines du pays. Je n’oublie pas les promesses mensongères de Sambi, les crimes abjectes et la dictature de son pouvoir. Aussi, Ikililou ne fut pas mieux. Lui dont le Molah s’est gargarisé de lui avoir fait dont de la présidence. Dans cette deuxième partie de la gouvernance du pays, nos femmes et hommes “civilisés” ont encore une fois brillé par leur silence. Alors comment Mdama peut-il à lui seul, s’il se trouve qu’il en ait les qualités requises, faire sortir le pays la tête de l’eau avec des diplômes qui ont passé tout leur temps à accompagner les bourreaux du peuple et à tout de rôle sans mot dire devant les actes maléfiques posés par des autorités malsaines?

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  • Azad

    mars 19, 2021 at 6:22

    Aucun comorien ne peut ignorer les effets maléfiques du pouvoir de Mitsoudje et particulièrement du clan Azali. Les Comores ont suffisamment de femmes et d’hommes instruits pour ne plus laisser le peuple souffrir dans le silence et disparaître dans l’indifférence. Je veux bien croire en la capacité de Mdama à sortir le pays de ses grottes mais comment imaginer qu’une population de près d’un million d’âmes puisse compter sur un homme seul? Lui comme nos femmes et hommes bien cultivés ont souvent fermé les yeux devant l’enfumage des politicards ayant mis à mal l’essentiel des règles démocratiques. fraudes électorales, arrestations, tortures et assassinats extrait judiciaires, pillages des maîtres fonds publiques et j’en passe. Près de 45 ans d’indépendance ne constitue pas un segment large pour voir les fruits de notre souveraineté Aujourd’hui. Seulement suffisant pour jeter les bases de,un développement humain et économique. Pendant la période Soilihiste où ce dernier avait comme priorité : L’auto suffisante alimentaire, la lute contre l’ignorance autrement pour une éducation pour tous, la santé et l’égalité devant la justice sans oublier la laïcité, les cadres politiques du pays ne pensaient que prendre le pouvoir refusant de bosser avec un homme idéologiquement opposé. De mai 78 à novembre 89, le parti unique de nos pauvres féodaux a gouverné avec les mercenaires sous l’appuie de la France en complicité du pouvoir ségrégationniste d’Afrique du Sud. Un pays sous l’apartheid où les Comores assuraient le transit d’armes après l’ambargo voté a l’unanimité par l’onu. Après l’assassinat d’Abdallah, Djohar s’est approprié le pouvoir et a géré le pays avec une petite mafia ( Tahomba,……) Jusqu’à sa chute. Comme Ali Soilih, Taki s’est fait supprimé après 2 ans et demi à la magistrature suprême. Pendant toute cette période, à l’exception du FD, le reste de la population y compris nos éduquéss’est tu. Azali, va saisir’cette occasion pour prendre le pays en otage se servant des forces armées dont il avait la charge. Pendant 2 ans Azali va dicter au pays toute sa brutalité. Par des élections dont Azali fut seul au 2eme tour, ce dernier va continuer son travail de Malfaiteur de 2002 à 2006. Le 26 mai 2006, il va quitter le pouvoir’comme un mal propre et’ce avec un bilan catastrophique sur’tous’les plans. 10 ans après il est parvenu à retrouver les reines du pays. Je n’oublie pas les promesses mensongères de Sambi, les crimes abjectes et la dictature de son pouvoir. Aussi, Ikililou ne fut pas mieux. Lui dont le Molah s’est gargarisé de lui avoir fait dont de la présidence. Une présidence donc illégitime et contestable. Dans cette deuxième partie de la gouvernance du pays, nos femmes et hommes “civilisés” ont encore une fois brillé par leur silence. Alors comment Mdama peut-il à lui seul, s’il se trouve qu’il en ait les qualités requises, faire sortir le pays la tête de l’eau avec des diplômés qui ont passé tout leur temps à accompagner les bourreaux du peuple et à tour de rôle sans mot dire devant les actes maléfiques posés par des autorités malsaines? Le travail me semble immense pour parvenir à donner au peuple une souveraineté en fuite. Travaillons avec courage, perceverence et espoir et un jour……..

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