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«Saïd Ahmed Saïd Ali nous entraîne tous dans la merde»

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«Saïd Ahmed Saïd Ali nous entraîne tous dans la merde»

Ire des ennemis mortels de l’insulteur public de Bête-Salam

Par ARM

      Les initiés le savent: les serpents constituant les triumvirs de la haine et de la vulgarité et qui sont prétendument chargés de la «communication» du chanteur d’anniversaire répondant au nom d’Azali Assoumani se détestent à mort. La chose s’explique. Le méprisable Msa Ali Djamal, le haïssable Mohamed Abdou Mbechezi et le détestable Saïd Ahmed Saïd Ali se prennent chacun pour un spécialiste de la communication politique. Chacun déploie des «trésors» de médiocrité pour essayer d’expliquer au guitariste Azali Assoumani qu’il est plus expert en la matière que les autres, alors que leur «compétence» se limite aux faux et grossiers «sondages» sortis de la structure mentale malade du pathétique Msa Ali Djamal, qui dit être le digne héritier du sociologue Pierre Bourdieu (1930-2002) alors qu’il ne sait même pas ce que signifie le mot «sondages». Mesdames et Messieurs, que vaut un sociologue qui méconnaît les travaux sur le terrain et les sondages? Donc, le pathétique Msa Ali Djamal est un fieffé menteur.

Pour sa part, le détestable Saïd Ahmed Saïd Ali croit savoir qu’il maîtrise mieux la langue française qu’Ahmed Wadaane Mahamoud, l’écrivain à l’écriture flamboyante et au français lumineux, sans lui dire «on n’écrit pas ceci, mais cela», comme cela se fait chez les gens de bonne famille. Il se limite à dire qu’il ne comprend pas son français, mais sans nous signaler les fautes introuvables qui sont dans le texte limpide de notre écrivain prolifique, l’un des meilleurs défenseurs des intérêts des Comores à l’échelle internationale.

      Pourtant, le garçon prétentieux de Ntsoudjini aurait gagné à demander à sa propre équipe de «communication» qui rédigeait les cartes d’invitation pour la célébration du 42ème anniversaire des Comores que le terme «anniversaire» s’écrit avec un seul «S» et non avec deux «S». Et c’est cet homme qui veut corriger Ahmed Wadaane Mahmoud, sans relever une seule faute dans son texte? Et s’il se rendait le service de balayer devant sa propre porte, lui qui, avec les Bellou et autres Hamadi Idaroussi et Mohamed Abdou Mbechezi, a volé l’argent des membres du Comité d’Organisation des festivités du 42ème anniversaire de l’indépendance des Comores? La chose a provoqué un énorme scandale à Bête-Salam, mais celui-ci a été étouffé dans la menace et les injures.

Qui plus est, après la publication du texte malheureux de l’homme haineux et exalté de Ntsoudjini, ce membre du personnel de Bête-Salam est littéralement sorti de ses gonds, et règle ses comptes avec «l’intellectuel» du groupe: «Saïd Ahmed Saïd Ali a vraiment perdu une belle occasion de fermer sa gueule de putois. Qu’est-ce qu’il a à s’attaquer à Wadaane? Par quel malheur ne sait-il pas qu’en agissant comme il vient de le faire, il expose le chef lui-même? Se sait-il devant la porte de sortie et fait-il du zèle pour tenter de prouver qu’il est encore en vie et qu’il sert à quelque chose? On ne répond pas aux gens avec ce mépris.

      Il ne se passe pas un jour sans qu’ARM ne nous traîne pas dans la boue. Maladroitement, nous demandons à des mercenaires de l’insulter sur Internet. Il a une façon de nous exprimer son mépris en ne lisant jamais nos bêtises et en n’y réagissant même pas, histoire de nous dire que nos attaques ne l’atteignent pas. Récemment, nous avions même engagé un prétendu journaliste qui, devant sa première épouse, traitait sa deuxième femme de “terroriste”, une jeune journaliste originaire de Mohéli, et cela, avant de se réjouir de sa mort, compte tenu des intérêts qu’il y tire. Donc, par ses stupidités et son infantilisme, Saïd Ahmed Saïd Ali nous entraîne tous dans la merde. Un professionnel de la communication doit avoir du sang-froid et de la dignité».

En plus de cette sortie, un autre membre du personnel de Bête-Salam est allé voir Ahmed Wadaane Mahamoud, traitant Saïd Ahmed Saïd Ali comme du poisson pourri: «S’il avait des choses à te dire, pourquoi ne t’a-t-il pas appelé? Et même en t’appelant, il aurait commis une faute monumentale, proche du harcèlement et de la tentative d’intimidation». En homme qui sait vivre et qui a côtoyé les dirigeants de ce monde, l’intellectuel originaire de Mbéni s’est contenté de répondre à son interlocuteur: «Je ne m’intéresse pas à ces choses-là et à leurs auteurs. Au moment où le pays a de vrais problèmes, je ne vais pas perdre du temps dans des enfantillages et dans des gamineries».

Oui, Ahmed Wadaane Mahamoud n’est pas homme à perdre son temps dans des choses débiles. Il ne s’investit que dans les choses utiles, dont la principale est une réflexion sérieuse et constructive sur le trou sans fond dans lequel se trouvent les Comores actuellement par la faute de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. D’ailleurs, il a voulu organiser un meeting historique au Foyer des Femmes de Moroni pour critiquer sévèrement les autorités actuelles, mais Kiki y a interdit les manifestations politiques de l’opposition. Cela étant, l’homme qui a beaucoup défendu l’unité politique et l’intégrité territoriale des Comores lors de la crise séparatiste d’Anjouan a décidé de tenir son meeting sur ses terres de Mbéni, et a déjà demandé au Préfet du Hamahamet de laisser Kiki lui-même interdire sa grande réunion. Ça promet…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 6 août 2017.


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