La ministre évacue son frère clandestinement à Mayotte
La ministre de la Santé fuit par méfiance son système de santé
Par ARM
Mais, où va se cacher l’absence de honte? La Loub Yakout Zaïdou nage dans l’absence de honte et s’y noie. Pauvre chérie… La pauvre chérie. Elle fait pitié, celle-là, la Loub Yakout Zaïdou, la prétendue ministre de la Santé malade, moribonde, comateuse et agonisante, voire morte des Comores. Cette femme est tellement ridicule qu’elle fuit par méfiance «son» propre système de santé, ses propres hôpitaux, et fait évacuer clandestinement son propre frère à Mayotte, en kwassa-kwassa. Oui, la ministre de la Santé des Comores est une trabendiste, qui a son propre réseau de trabendo de clandestins entre Anjouan et Mayotte. Elle est devenue une délinquante contre laquelle la France peut engager des poursuites judiciaires pour trafics d’êtres humains.
Ce n’est pas bien.
Ce n’est pas bien parce que les Mohéliens étaient accusés par les Grands-Comoriens et les Anjouanais d’être les vecteurs du variant sud-africain du coronavirus, alors que, d’une part, c’est un Grand-Comorien vivant en région parisienne qui a introduit la chose à Mohéli, et que, d’autre part, ce sont les clandestins anjouanais qui l’ont ramené d’Anjouan à Mayotte. Qu’on se le dise! La ministre comorienne de la Santé est donc une délinquante qui fait du trafic d’êtres humains et viole les frontières internationales par un trafic de clandestins entre Anjouan et Mayotte. Elle devrait démissionner, celle-là, mais elle ne perd rien pour attendre!
Et comme si cela ne suffisait pas, voilà le très méprisable et méprisé, le très haïssable et haï, le très détestable et détesté Djaé Ahamada Chanfi dit «Mna Djaé», «Le Petit Djaé» ou «Le Minuscule Djaé» ou encore «Djaé le Minuscule», le prétendu «ministre des Transports», en plein naufrage, lui aussi. C’est quelqu’un de foncièrement mauvais. Djaé Ahamada Chanfi est une pourriture. Il a dû céder à la pression d’Ethiopian Airlines, qui a subi des sanctions à Paris pour avoir transporté des Comoriens arborant fièrement un test négatif au coronavirus, mais qui se révéla positif à Paris. On comprend alors pourquoi la ministre de la Santé des Comores a fait évacuer clandestinement son frère à Mayotte.
Comme le même scenario s’est reproduit à Addis-Abeba et à Dubaï et qu’il a fallu des dispositifs de mise en quarantaine et, pour certains cas, des dispositifs d’hospitalisation, la compagnie aérienne d’Éthiopie a décidé de faire effectuer elle-même des tests à l’Aéroport de Hahaya. Vive l’Émergence sanitaire du grand Hôpital de standing de 7 étages! Mais, où sont les «4,3 milliards d’euros» de la Conférence des Donateurs de Paris des 2 et 3 décembre 2019, dont une partie devait servir à créer un système de santé aux Comores?
En attendant, il a fallu un avion médicalisé pour faire évacuer l’usurpateur Anissi Chamsidine, presque mort, à Nairobi, où il risque de mourir à tout moment de coronavirus. D’ailleurs, son évacuation sanitaire au Kenya est déjà baptisée «aller simple» tant personne ne le voit échapper à la mort. Sa mort est vivement souhaitée par les tortues de Mohéli, qu’il tue, vole et vend dans son village de Maraharé. Sa mort est souhaitée à Anjouan.
Dès lors, Mohamed Saïd Fazul, semblant de «Gouverneur» de Mohéli, doit convaincre Fatima Hamidi, sa première épouse de suspendre leurs ventes de piment, feuilles pilées de manioc et huile de coco à l’Hôtel Le Moroni car tous ceux qui passent aux côtés du dictateur fou et terroriste Assoumani Azali Boinaheri meurent comme ils ont vécu: punis par Dieu.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 6 février 2021.