Hamada M. Boléro veut se faire passer pour un opposant

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Hamada M. Boléro veut se faire passer pour un opposant

Azali veut le nommer dans un «gouvernement d’ouverture»

Par ARM

Les Comoriens doivent se méfier du fugitif international Hamada Madi Boléro. Ce dernier, pour exister politiquement, est prêt à s’asseoir à la gauche de Satan et à accepter de lui le poste de ministre de l’Enfer. Son plan, concocté avec la dictature, est tout simplement d’une mauvaise foi à tuer de honte une hyène et un pou réunis. La dictature, en accord avec l’intéressé, a décidé de le faire passer pour un «opposant». C’est ainsi que le tyran Assoumani Azali Boinaheri a conçu un plan devant faire de lui un ministre dans «un gouvernement d’ouverture», qui serait, en réalité, une immense foutaise, une fumisterie destinée à faire croire mensongèrement que la dictature était devenue une lumineuse et souriante démocratie! Cela constituerait une nouvelle version inintelligente du «Gouvernement d’Union nationale de Transition» (GUNT) qu’avait dirigé le fugitif international Hamada Madi Boléro de janvier à mai 2002 sur décision du putschiste Assoumani Azali Boinaheri. Cette arnaque avait pour but de faire éliminer le Prince Saïd Ali Kemal et Mahmoud Mradabi, et de faire «élire» «à 100%» le putschiste Assoumani Azali Boinaheri, avec la complicité de son ami Soilihi Mahmoud Mansour dit Sako et des mercenaires du «Droit» venus d’ailleurs, ne connaissant rien aux élections contestées et faisant des «debbascheries» (Alpha Oumar Konaré), du nom du juriste français Charles Debbasch, Conseiller de la dictature togolaise en manipulations de la Constitution.

La vérité? Sans carré de fidèles, ni électorat, ni soutien politique, ni crédibilité, ni terre d’élection, le fugitif international Hamada Madi Boléro veut devenir Président des Comores en 2026. Il a commis une faute très grave, en croyant s’y être préparé de manière à tromper les Mohéliens, d’abord, l’ensemble des Comoriens, après. Il a menti à des Mohéliens vivant en Grande-Comore, en leur disant qu’il refuse d’entrer dans un gouvernement de mascarade pour trois raisons.

1.- Ce qui l’intéresse, c’est de finir sa carrière politique par la fonction de Président de la République, sans dire qui est fou pour l’élire ou s’il veut faire un coup d’État.

2.- Selon lui, le «gouvernement» est placé sous la férule de 2 pôles, qu’il ne contrôle pas.

3.- Il se contredit en estimant que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri ne va jamais changer son «plan de dictature à l’horizon 2029», et qu’il le savait dès le départ.

Son discours vaseux, oiseux et vaporeux pèche par ses failles. En effet, il dit aux gens qu’en 2016, il a fraudé en faveur d’un dictateur fou qui veut rester au pouvoir jusqu’en 2029, alors que lui, le fugitif international Hamada Madi Boléro, veut être Président de 2026 à 2031, après la présidence d’un Anjouanais ou d’une Anjouanaise de 2021 à 2026. Visiblement, il prend ses interlocuteurs mohéliens pour des imbéciles. Déjà, il doit se faire à l’idée qu’en 2026, je serai candidat à l’élection présidentielle, qu’il n’a aucune chance de figurer sur la liste des 3 candidats devant s’affronter au second tour, que même s’il ne devait affronter que moi, je le battrais à Mohéli et au niveau des trois îles. Ses petites combines avec le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri, c’est du gnangnan.

Par ARM

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