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Hamada Boléro, victime de la malédiction de Mohéli

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Hamada Boléro, victime de la malédiction de Mohéli

Mohéli a bien prié pour sa damnation électorale éternelle

Par ARM

       Poteau-Central, à Djoiezi, est un lieu d’intrigues sociales et politiques et la place publique la mieux informée des Comores. Il a capté un message: «Je cherche le numéro de téléphone d’ARM pour l’insulter, suite à ses deux articles inhumains sur mon cousin, le Colonel Mohamed Anrifi Moustoifa, victime d’un AVC». Eh bien, votre site préféré attend ces injures. Cet ARM-là partage avec le Colonel Mohamed Anrifi Moustoifa Bacar Madi dit José, dit Obama, ses frères et sœurs deux oncles et une tante morte récemment, et a passé avec eux l’enfance à Djoiezi. Mais, il n’oublie pas le mal fait depuis 1997 contre Mohéli par le Colonel Mohamed Anrifi Moustoifa Bacar Madi, qui récolte le mal qu’il a semé. Il est victime de lui-même, de sa haine envers son île et de son inconscience. Alors, le fameux cousin insulteur n’a pas bien réfléchi: ses injures seront les dernières qui sortiront de sa bouche.

Le règne des Mohéliens de Bête-Salam a fait sortir du ruisseau des gens qui ont piétiné les Mohéliens, avili et fait régresser Mohéli et qui croyaient être immortels. Ils ne sont rien, ni personne aujourd’hui. Dans une année va tomber du tomatier le fugitif international Hamada Madi Boléro. Son médiocre mandat à la Commission de l’océan Indien (COI) finit en 2020. En 2016, avant d’attribuer abusivement et anticonstitutionnellement la «victoire» au dictateur fou de Mitsoudjé, il avait de ce dernier un engagement: en 2021, Moustadroine Abdou Mafitsi devient le Président, le prend Vice-président pour Mohéli et le fait chef d’État en 2026. Mais, il y eut la trahison du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».

En effet, la «non-Constitution de la main coupée et de la mort» du 30 juillet 2018 a tué la présidence tournante et la fonction de Vice-présidents, brisant ses rêves de fraudes électorales en 2021 et 2026. Ce que le fugitif international Hamada Madi Boléro ne sait pas, c’est qu’il ne sera jamais élu un jour. Après avoir vu le mal qui vit en lui, les Mohéliens se retrouvèrent un jour à Fomboni pour prier afin qu’il ne soit jamais élu un jour. En 2002, alors chef d’État par intérim, il frauda pour le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, «élu» «à 100%».

Or, déjà frappé par la malédiction de Mohéli, le fugitif international Hamada Madi Boléro se présenta aux élections législatives de 2004 et a été battu. Le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri a financé la campagne électorale de Mohamed Larif Oucacha, l’adversaire. Les Mohéliens qualifièrent le malfaiteur d’étranger et d’ennemi de leur île. Mohamed Larif Oucacha fut élu. En 2010, lors du scrutin présidentiel, le bambochard Assoumani Azali Boinaheri aida au financement de la campagne électorale d’Ikililou Dhoinine et de Mohamed Saïd Fazul dit Babadi et «oublia» son fraudeur de 2002, classé à la 5ème place sur 10.

En mai 2014, les jeunes de Djoiezi ont publié le tract historique «Kala Wa Dala», et ont écrit sur le fugitif international Hamada Madi Boléro: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha) Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître». Deux ans plus tard, l’individu frauda encore pour le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri, auteur d’un deuil permanent sur les Comores depuis le 26 mai 2016, y compris sur le fugitif international Hamada Madi Boléro lui-même, qu’il humilie aujourd’hui sans gêne.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 7 octobre 2019.


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