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Fazul crée du coronavirus à Djoiezi et vend sa bouillie

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Fazul crée du coronavirus à Djoiezi et vend sa bouillie

Les «50 cas de coronavirus de Djoiezi» sont imaginaires

Par ARM

       Les Djoieziens sont consternés, médusés et scandalisés. On vient de «découvrir» à Djoiezi «18, puis 22, puis 50 cas de coronavirus» aussi réels que les possibilités pour vous et moi de succéder à la Reine Élisabeth II au trône d’Angleterre, et au Pape François au Vatican. Il n’y a pas de coronavirus à Djoiezi. Toute la foutaise autour de cette affaire est partie du fait que l’ancien footballeur Mohamed Bouhaïr Abdoulkarim dit Matthaüs de Djoiezi soit parti en Afrique du Sud et non un Fombonien. Or, Djoiezi et Fomboni vivent dans une rivalité stupide et dépassée depuis des décennies, notamment à cause de leurs compétitions footballistiques, et sont dans l’incapacité de comprendre que les enfantillages de ce type ne devaient pas avoir cours au XXIème siècle. Certains n’arrivent pas à oublier les années 1970, quand mon frère Abdourahamani dit Bijo arbitrait les matchs entre Fomboni et Djoiezi, en montrant en début de match à Abdouldjabar Mohamed Soilihi dit De Gaulle une cravache qu’il avait dans sa poche: «C’est pour toi, au cas où tu serais tenté de contester mes décisions».

Et voilà que Belle Lumière de Djoiezi vient de battre à 2-1 Fomboni Club. La haine stupide et vieillotte des uns et des autres a refait surface, et tel cacique de Fomboni Club, incapable de limiter ces histoires de football à un simple jeu, a accusé Mohamed Bouhaïr Abdoulkarim dit Matthaüs d’avoir ramené du coronavirus d’Afrique du Sud! En quelques heures, Djoiezi est devenue l’épicentre imaginaire d’un coronavirus imaginaire. Les Djoieziens sont traités en parias, interdits de quitter leur ville, de se rendre à Poteau Central, place des intrigues sociales et politiques, et ailleurs. Les Djoieziens sont montrés du doigt et isolés.

Fait particulièrement grave, chacun y va de son chiffre fantaisiste. C’est alors que l’inévitable et horrible Mohamed Saïd Fazul, le semblant de «Gouverneur» de Mohéli, en a profité pour déporter toute la population de Djoiezi à l’Hôpital de Fomboni. Le but de cette déportation nazie étant connue, il suffirait à peine de noter que la manœuvre a pour finalité la possibilité pour Mohamed Saïd Fazul et Fatima Hamidi, sa première épouse, un piranha, celle-là, d’obliger les Djoieziens à être placés de force à l’Hôpital de Fomboni et à acheter sous la contrainte leur horrible, insipide et mortelle bouillie, vendue par coercition à l’Hôpital de Fomboni par un horrible individu portant des vêtements aux allures de placenta de chienne.

La bouillie dégueulasse mène à tout.

De toute manière, nous qui avons un pied à Djoiezi et un autre à Fomboni, rejetons avec vigueur la poursuite de la haine stupide et surannée entre les deux villes. Mohéli a mieux à faire qu’à plonger dans la haine pour des enfantillages de farfelus liés à un match de football sans le moindre intérêt. Trop, c’est trop!

En tout état de cause, quand la dictature a appris l’existence du coronavirus à Djoiezi, elle était morte de joie parce que Djoiezi est la ville natale de l’ennemi ARM. Eh bien! Il n’y a pas de coronavirus à Djoiezi. Mohamed Saïd Fazul et Fatima Hamidi doivent trouver d’autres débouchés pour leur poison déguisé en bouillie infecte. Fakri Mahmoud Mradabi, avec son espionnage débile, peut aller persécuter les gens ailleurs, mais pas à Djoiezi…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 19 décembre 2020.


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