Assoumani Azali tue les vivants et dévore les morts
À la mosquée, il vole le deuil aux familles des défunts
Par ARM
L’horreur et la honte se répétèrent à Ntsoudjini le lundi 13 janvier 2020, et toujours à cause du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Ce lundi 13 janvier 2020, ont eu lieu à Ntsoudjini les funérailles de Mohamed Idaroussi, qui a fait presque toute sa carrière à l’Ambassade des Comores à Paris, de son ouverture en 1979 à 2014. Compte tenu de la personnalité très sympathique et attachante du défunt, la foule des grands jours était présente à Ntsoudjini. Mais, il a fallu que le dictateur fou de Mitsoudjé ramène sa fraise, en s’arrogeant, comme d’habitude, le droit de diriger la prière du mort. La mosquée se vida, et il a fallu refaire la prière, dirigée, cette fois par un vrai Musulman et non par l’assassin du peuple comorien. En s’imposant dans les prières des morts dans les mosquées, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri s’affirme dans son rôle de tueur des vivants, de dévoreur des morts et d’empêcheur des familles à faire leur deuil. Dans la tradition musulmane, on ne revendique pas la direction de la prière. Dans la tradition comorienne, on n’arrache pas de force la parole de la bouche du maître de cérémonies. Or, dans les mosquées comme dans les cérémonies de mariage, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri s’impose par la force, et cela dégoûte les Comoriens. Il serait temps que sa famille l’éduque un peu quand même.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 14 janvier 2020.
