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Assoumani Azali fait la bise au coronavirus sur les 2 joues

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Assoumani Azali fait la bise au coronavirus sur les 2 joues

Le dictateur instrumentalise cette pandémie à ses propres fins

Par ARM

       Les Comoriens sont tellement dégoûtés par la dictature de «L’Éternel Miraculé divin» Assoumani Azali Boinaheri qu’il est désormais certain que pour permettre aux autres membres de la communauté nationale de respirer, un Comorien transformé en kamikaze se fera tuer en entraînant dans la tombe le dictateur pandémique. Tous les indices actuels de la société comorienne sont ceux d’un pays en déconfiture, au bord de l’implosion et sur lequel règne un climat annonciateur d’une affreuse guerre civile. La dictature croit juguler celle-ci en profitant du coronavirus en serrant la vis jusqu’à la faire dérayer. Cette situation est dégueulasse parce que, pendant trois mois, la tarte à la crème était: «Il n’y a pas de coronavirus aux Comores». Cette proclamation pour le moins criminelle a poussé la plus large portion du peuple à ne pas prendre au sérieux une pandémie tuant des dizaines de Comoriens par semaine, pendant que la logorrhée et la logomachie du dictateur pandémique se ramènent à 2 morts par coronavirus, la moyenne la plus basse même dans la plus lointaine des galaxies de l’univers.

Aujourd’hui, «L’Éternel Miraculé divin» Assoumani Azali Boinaheri pavoise et bénit le coronavirus chaque instant de sa vie: «Béni sois-tu, cher coronavirus, maladie venue de l’enfer spécialement pour m’aider à arrêter la contestation de ceux qui contestent, les manifestations de ceux qui manifestent contre moi dans la rue française. Grâce à toi, cher coronavirus, j’empêche les Comoriens de pointer le nez dehors. Je règle mes comptes sous couvert de toi. Tu es arrivé au bon moment. Moi, je peux faire des randonnées et des rodéos par avion sur les îles, mais les autres sont en prison chez eux. Je n’ai même pas besoin de les placer en maison d’arrêt et de leur fournir de la nourriture infecte. Je les emprisonne chez eux, ils ne me coûtent rien, et je suis libre de continuer à les écraser comme des fourmis».

En d’autres termes, chaque fois qu’il est enfin seul, «L’Éternel Miraculé divin» Assoumani Azali Boinaheri fait la bise sur les deux joues à son ami le coronavirus, ajoutant à voix basse: «Si tu n’existais pas, il aurait fallu que je t’invente». Plus dégueulasse encore, tout ceci arrive à un moment de forte contestation, quand on a commencé à tuer les militaires un à un, quand Anjouan entre progressivement dans un climat insurrectionnel préfigurant le combat final destiné à placer un Anjouanais à Beït-Salam le 26 mai 2021, date non négociable.

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Jeudi 28 mai 2020.


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