Achat, vente de la mort et «autopsie» d’Attoumani Ali
Assoumani Azali fait du faux religieux le «médecin légiste»
Par ARM
Le Saint Coran nous apprend ceci:
«Ayez foi en ce que J’ai révélé et qui ne fait que confirmer les Messages que vous aviez déjà reçus; ne soyez donc pas les premiers à les renier et à troquer Mes signes contre un vil espoir! Il vous faudra alors craindre Ma colère. Ne dissimulez pas la Vérité en la revêtant de mensonge. Ne cachez pas la Vérité, alors que vous savez» (II, La Vache, 41-42).
L’Islam est Vérité. Mais, dans les Comores de Mitsoudjé, il est un paillasson sur lequel le dictateur fou et son Mufti-cardinal Saïd Toihir Saïd Maoulana s’essuient leurs pieds fangeux et les mains dégoulinant du sang des Comoriens. Le dernier pervertissement de la religion par le couple maudit formé du Tartuffe de Ntsoudjni et du dictateur fou de Mitsoudjé est l’assassinat d’Attoumani Ali dit «Foundi» («Professeur») Attoumani de Djongoué, dans le Mboudé, en Grande-Comore. Feu Attoumani Ali était l’accompagnateur d’Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», neveu du dictateur débile de Mitsoudjé, le prétendu «secrétaire général du gouvernement». «Tonton-m’a-dit» a un cancer et fait la navette entre Dubaï, où il vit dans une suite d’hôtel, et l’Inde, où il se fait traiter. Il devait changer certains organes de son corps. Il a fait tuer Attoumani Ali et a fait prélever des organes sur son corps. Il lui avait parlé d’un simple bilan de santé, le premier bilan de santé mortel de l’Histoire de l’humanité.
Votre site préféré et Ben Djaé ont été saisis de ce dossier d’assassinat et de trafic d’organes humains, et ont révélé la vérité, exigeant une autopsie indépendante du corps. Celle-ci n’a pas eu lieu: un faux religieux a été nommé «médecin légiste» par le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». En un clin d’œil, le faux religieux, manipulant des versets du Coran, décréta qu’Attoumani Ali porte la trace d’une injection mais pas celles de prélèvements d’organes. Il ment à la demande de la famille dictatoriale pour cacher un assassinat qu’elle a programmé.
La mère d’Attoumani Ali admet implicitement qu’il y a eu assassinat, quand elle dit que ce qui est fait est fait et qu’il fallait juste enterrer le corps du fils assassiné. Pour que son assassin puisse vivre avec les organes volés sur lui? Plus grave encore, il faudra qu’on explique aux Comoriens pourquoi la famille d’Attoumani Ali, sentant qu’il y a eu assassinat, avait contacté Maître Abdoulbastoi Moudjahidi pour qu’une procédure judiciaire soit engagée, sur la base de l’autopsie. En quelques secondes, tout a été escamoté. Plus grave encore, dans l’après-midi du mercredi 4 décembre 2019, alors que votre site préféré était inondé d’appels téléphoniques cherchant à savoir si cette histoire était fondée, il en reçut un de la plus haute importance: «Nous allons t’envoyer le Rapport médical pour que le monde entier sache ce qui s’est passé sur le pauvre Attoumani Ali».
Il n’y aura pas de Rapport médical parce que la procédure a été volée pour permettre à Idaroussi Hamadi de vivre avec une partie du corps d’Attoumani Ali, qu’il a fait tuer. Donc, la thèse de l’assassinat reste valable: Attoumani Ali a été tué à la demande d’Idaroussi Hamadi et de sa famille, dont son Tonton. C’est un assassinat. Tout a été planifié pour la mort d’Attoumani Ali, dont l’assassinat, le cadavre et «l’autopsie» ont été vendus et achetés par Idaroussi Hamadi et son Tonton. Quant au prétendu Rapport médical d’Inde, il est bidon: les coupables ne vont pas s’accuser d’assassinat et de trafic d’organes humains. Qu’on se le dise!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 5 décembre 2019.
