La publicité doublement crapuleuse de Bellou Magochi
Très malade, afficher «une bonne santé» et rester en poste
Par ARM
Un voleur de poules et de linceuls de morts restera un voleur de poules et de linceuls de morts. Tel est Bellou Magochi, Directeur du Cabinet du dictateur Assoumani Azali Boinaheri chargé de la Défense. C’est un voleur de poules et de linceuls de morts. Sa petite scène du prétendu «accueil chaleureux, triomphal et en grande pompe» à l’Aéroport de Hahaya était une horrible mise en scène destinée à atteindre deux objectifs publicitaires. D’une part, le fasciste veut faire croire qu’il n’est pas gravement atteint de la maladie de Parkinson comme le fait savoir avec insistance votre site préféré, et d’autre part, prouver au dictateur Assoumani Azali Boinaheri qu’il est «populaire» au point d’être accueilli «triomphalement» à Hahaya. Comme il est «populaire», il doit rester en poste à Bête-Salam en ces temps de rafistolage gouvernemental sous couvert de «remaniement ministériel» entre cousins, copains et coquins.
C’est du brigandage politique versant dans la mendicité!
C’est de la filouterie politicienne!
C’est de la maladie mentale!
Depuis sa nomination à son poste hautement stratégique, Bellou Magochi n’a prouvé que son fascisme, son obséquiosité envers un dictateur fou et déconnecté des réalités du monde, sa vulgarité, son indécence malsaine, ses injures et menaces contre et envers les Comoriens, son mauvais goût, notamment vestimentaire et en savoir-vivre… Chantre du savoir-mourir, il tue et enterre ses victimes comme des chiens enragés. Le pauvre Major Hakim Bakari dit Bapalé!
Au lendemain du départ de Bête-Salam du putschiste Assoumani Azali Boinaheri, le 26 mai 2006, sous les injures, quolibets et malédictions, il a été constaté qu’Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», le neveu, avait volé de l’argent et du matériel au ministère de l’Agriculture. Il atterrit en prison. Son avocat, le faussaire mondial Ibrahim Ali Mzimba, lui conseilla un faux témoignage. Bellou Magochi, autre fonctionnaire à ce ministère, fit le faux témoignage. Depuis 2006, le voleur Idaroussi Hamadi jouit d’une «libération conditionnelle»! Ça dure!
Au lendemain de la mascarade électorale de 2016, par reconnaissance, Idaroussi Hamadi, reconverti dans les assassinats pour vols de pièces détachées humaines, fit nommer le sapajou à sa fonction actuelle. Bellou Magochi est à Bête-Salam comme un cheveu sur la soupe, un incompétent notoire, un corrompu d’anthologie. Quand son limogeage est évoqué, il rappelle à «Tonton-m’a-dit» ce qu’il a fait pour lui par faux témoignage. «Tonton-m’a-dit» fait tout pour éviter son limogeage; mais, il est fatigué par ses pleurnicheries larmoyantes. Très malade et faisant tuer des innocents pour récupérer sur eux des organes remplaçant ceux détruits sur lui par un cancer très vindicatif, il supporte moins un Bellou Magochi absolument inutile.
En mars 2018, le limogeage de Bellou Magochi était sur toutes les lèvres, et ce dernier paya quelques femmes à Foumbouni (Photo), sa ville d’origine, pour qu’elles lui «fassent allégeance» à Bête-Salam et se répandent en salamalecs pour faire croire qu’il était soutenu, incontournable, et «très populaire». Déjà! Le dictateur avait insulté et repoussé son sapajou devant des témoins car il avait publiquement révélé son projet de présidence à mort. Pour le torturer et le faire taire, il avait nommé Mohamed Ismaïla porte-parole de Bête-Salam. Bellou Magochi avait atterri chez son pote Idaroussi Hamadi, qui avait démarré en trombe et boulé chez Tonton pour plaider la cause de son «bienfaiteur» par faux témoignage. Donc, quand il a peur, Bellou Magochi pleurniche et se crée une «popularité». Le fou maudit!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 28 août 2021.
