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Azali sommé d’organiser les élections en mars 2021

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Azali sommé d’organiser les élections en mars 2021

Cette sommation vient de l’Union africaine et d’ailleurs

Par ARM

     Pendant que le «panafricain» de pacotille et pique-assiettes Saïd Larifou boit du kinkéliba et mange du thiéboudiène au Mali, ses pires ennemis, ceux qui ont signé le Pacte républicain pour le retour à la Constitution, à l’Accord-cadre de Fomboni et à la présidence tournante, ont remporté une victoire décisive contre la dictature. En effet, l’Union africaine avait envoyé une convocation secrète au dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, et ce dernier s’est effectivement rendu secrètement à Addis-Abeba, siège de l’Union africaine. Il lui a été signifié de la plus ferme des façons qu’il doit organiser les élections du Président et des Gouverneurs des îles en mars 2021 et rentrer chez lui à Mitsoudjé pour qu’un enfant de l’île d’Anjouan soit investi Président de la République le 26 mai 2021. Tout est fait par la dictature pour que cette sommation ne soit pas connue des Comoriens. Elle ne voudra pas en parler. Pourquoi? Parce que, acculé comme un rat d’égout, le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri tentera de faire en sorte que les élections de mars 2021 puissent être considérées comme relevant de son initiative personnelle et non comme le fruit d’une sommation internationale via l’Union africaine. Des grandes puissances le poussent vers la sortie.

Cette victoire du peuple comorien est très importante. Mais, les patriotes mobilisés contre la dictature et son sous-marin Saïd Larifou et sa Bande de 3 + 1 ne doivent pas arrêter la mobilisation. Ceci est d’autant plus vrai qu’une élection présidentielle en 2021 ne suffira pas; elle doit être libre, démocratique et transparente. Pour ce faire, elle doit être organisée par un gouvernement de transition, souhaité ardemment par l’Union africaine, sous supervision internationale, exactement comme en 2006. Dès à présent, l’opposition doit s’éloigner des pires ennemis du peuple comorien, dont le n°1 est le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, et le n°2 son portefaix et chaouch Saïd Larifou. Si Saïd Larifou ose prétendre que c’est son «panafricanisme» à la sauce tomate qui est à l’origine de cette importante évolution, cela sera considéré comme un casus belli. Qu’il reste donc au Mali et qu’il laisse les Comoriens finir leur combat.

Naturellement, les opposants grands-comoriens qui, par mépris pour Mohéli et Anjouan, complotent pour une transition de 5 ans, doivent oublier leurs rêves fous de pouvoir.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 7 octobre 2020.


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