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Assoumani Azali attire la malédiction des Comoriens

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Assoumani Azali attire la malédiction des Comoriens

Les Comoriens ont déjà pris les mesures de son cercueil

Par ARM

       De longue date, les Comoriens détestent, méprisent et maudissent leurs dirigeants. Par exemple, Ali Soilihi avait des ennemis mortels. Seulement, ces derniers étaient les anciens, qui fulminaient, maugréaient, renâclaient et crachaient par terre contre lui à cause de sa politique contre l’Islam, dans une République laïque dont la population est musulmane à 99%, contre le grand mariage, contre les traditions animistes (sorcellerie) et contre l’ancien ordre social des Comores éternelles. Les anciens et les notables maudissaient Ali Soilihi, mais les jeunes le suivaient, certains n’hésitant pas à se déscolariser pour être dans le vent de sa Révolution. Or, aujourd’hui, il est un dictateur qui cristallise la haine des Comoriens de toutes les générations, de tous les âges, de toutes les conditions économiques et sociales: le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».

Des caricatures ont existé sur les anciens Présidents Ahmed Sambi et Ikililou Dhoinine. Par exemple, on a vu Ikililou Dhoinine en pagnes de femmes, en flamboyant rouge à lèvres, la tête couverte. Mais, ce qu’on voit aujourd’hui sur le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri dépasse tout ce qu’on a vu en termes de haine, mépris et malédiction. Les caricaturistes ont la redoutable habitude de le présenter nu, aux toilettes, dans un cercueil, etc. Il n’y a aucune caricature qui le présente de manière positive. Ces caricatures sont le fruit de la haine mortelle et de la malédiction également mortelle que lui vouent les Comoriens. Ceci est d’autant plus vrai que les Comoriens ne souhaitent qu’une seule chose aujourd’hui: la mort fort violente du dictateur fou de Mitsoudjé.

Aucun Comorien ne voit le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri quittant vivant Bête-Salam. Une telle sortie est impossible. Ils souhaitent et le voient tous quitter Bête-Salam baignant dans son propre sang, comme il a plongé d’autres Comoriens dans le bain de leur sang. Le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri est le deuxième dirigeant comorien dont le cercueil symbolique a été soulevé par la population, et surtout le premier dirigeant comorien dont le cercueil d’avant la mort est soulevé et même symboliquement enterré le plus de fois, mais aussi le premier et seul Comorien qui a assisté à un tel déploiement de haine autour de sa personne.

       Comme il est complexé, narcissique, arrogant, inculte et intellectuellement très limité, il n’a pas compris le sens de la détestation et de la malédiction des Comoriens à son égard. Des Comoriens disent même le voir mourir émasculé comme le tyran libérien Samuel K. Doe (Sur la photo, le fou en boubou blanc est le faux marabout et ancien dictateur sanglant et sanguinaire Yahia Jammeh de Gambie, actuellement en exil), exposé aux crachats et pipi de la population. Il n’a aucune chance d’y échapper. Plus significatif encore, quand on parcourt les sites Internet et les blogs des autres dictatures africaines, on ne remarque pas le déploiement d’une telle haine envers le dictateur en place. Cela signifie que le message est très clair: le bambochard Assoumani Azali Boinaheri est le dictateur le plus détesté au monde depuis les origines de l’humanité. Les Comoriens ont déjà pris les mesures de son cercueil tant ils sont pressés de l’enterrer dans une colonie de fourmis rouges.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 19 octobre 2019.


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