«Grave faute politique» et «décision très scandaleuse»
Mohamed Ali Soilihi a bien critiqué le «péché» de l’UPDC
Par ARM
Eh bien, il était temps! Oui, il était temps. Il fallait des excuses sincères, et elles ont été présentées de manière sincère par l’Union pour le Développement des Comores (UPDC), dont certains membres avaient pris la décision malheureuse d’inviter au 4ème Congrès de ce parti républicain et démocratique des filous et fous maudits de la Confrérie des Renégats et Criminels (CRC), dont le fasciste et criminel Bellou Magochi de sinistre mémoire. L’UPDC reconnaît que «péché» il y a eu le dimanche 12 janvier 2020 à Mbéni à cause de l’invitation faite à ces criminels de la CRC. En Algérie, pendant les années sanglantes ayant suivi l’arrêt du processus électoral en janvier 1992, certaines bonnes âmes avaient pour slogan «Pas de démocratie pour les ennemis de la démocratie». Les Comoriens suffoquent et étouffent d’indignation à la vue de Bellou Magochi et consorts au Congrès de l’UPDC. Mohamed Ali Soilihi a été le premier à s’indigner, lui qui a parlé de «grave faute politique», de «décision très scandaleuse» et même de «hache aiguisée et tranchante sur le dos des Mbéniens, qui assuraient l’accueil hospitalier aux congressistes et qui ne s’attendaient pas à une telle invitation, polémique, de la part du Comité d’Organisation». Le fasciste et primitif Bellou Magochi n’est pas quelqu’un qu’on invite chez soi, mais un serpent venimeux dont on coupe la tête.
Par ARM
Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Mercredi 15 janvier 2020.
