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Assoumani Azali «a tuer» le boy Hamada Madi Boléro

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Assoumani Azali «a tuer» le boy Hamada Madi Boléro

Il l’a humilié en l’écartant de son «monologue des sourds»

Par ARM

       À Poteau Central, haut lieu des intrigues sociales et politiques à Djoiezi, on se frotte les mains, rit sous cape, hoche la tête, lève les mains au ciel avant de se regarder dans le blanc des yeux et de tempêter: «N’avais-je pas dit que cette affaire de dialogue national impossible sous l’égide de Boléro dit Makridine cachait baleine et requin sous roche? Pourquoi ce n’est pas lui qui est officiellement nommé Coordinateur de ce dialogue qui n’aura jamais lieu et qui ne sera jamais national, mais quelqu’un d’autre? Quand il s’agissait de manœuvres souterraines des hérissons, c’était lui qui se ridiculisait en sollicitant le dialogue avec des gens qui n’ont que du mépris et de la haine pour lui. Pourquoi, aujourd’hui, Azali ne prend pas le risque supplémentaire de nommer officiellement ce pestiféré, qui n’a même pas d’audience à Boingoma, Mohéli, là où il est né, tout en se prétendant de Djoiezi?».

Ce qui se dit à Poteau Central est national, et cela signifie que les jeunes qui s’y réunissent sont des gens sérieux. En effet, il faudra que le fugitif international Hamada Madi Boléro explique aux masses populaires pourquoi c’est Toihiri Mohamed qui est envoyé à la mort en tant que «Coordinateur du Dialogue inter-comorien», dont on ne voit ni le but, ni l’utilité, ni la faisabilité, ni les prémisses, et non lui-même. On sait que le fugitif international Hamada Madi Boléro est dépourvu de toute notion de honte, de personnalité et de dignité, et on l’a redécouvert quand il osé prendre contact avec des dirigeants qu’il a spoliés et volés électoralement en 2016, à savoir le Vice-président Mohamed Ali Soilihi et Maître Fahmi Saïd Ibrahim. Comment cette fripouille immonde peut-elle avoir le front de demander à ses victimes de lui faire confiance? Comment cet individu peut-il être nullissime au point de ne pas pouvoir faire la différence entre le permis et l’interdit, entre le Bien et le Mal? Pourquoi n’arrive-t-il pas à comprendre qu’il ne peut pas adorer à la fois Dieu et Satan, et être à la fois monothéiste et polythéiste?

Pouah!

On sait que le fugitif international Hamada Madi Boléro ne sait pas ce que signifie le mot «honte». On sait qu’il est en adoration devant le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri et qu’il nourrit un grave complexe de culpabilité à son égard depuis sa trahison charnelle dans une suite d’hôtel de Dubaï. Il est juste une chose que ce fugitif international Hamada Madi Boléro ne sait pas sur le dictateur Assoumani Azali Boinaheri: ce malfaiteur pathologique et psychopathe n’adore que ceux qui lui font mal, et déteste ceux qui lui rendent service. Donc, il trouvera une occasion ultérieure pour le faire sortir de son sarcophage politique et de ses bandelettes de momie plongée dans la naphtaline… C’est une affaire de criminels, entre criminels.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 13 septembre 2021.


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