Le Tribunal de Moroni invente «la mort naturelle» par tortures et assassinat
La dictature torture, mutile et assassine Ahmed Abdou par «une mort naturelle»
Par ARM
J’ai beaucoup ricané en apprenant qu’untel nommé ignominieusement, indécemment et dans la saleté dans l’ignominieuse, indécente, sale et malsaine Cour suprême de Papa a les blues et pleure secrètement d’avoir eu la faiblesse et la cupidité de s’être laissé embarquer dans cette galère faite d’injustice, de plomb, de sang, d’horreur et de honte. Ce n’est qu’un début, dans un pays sans la moindre institution judiciaire crédible, en commençant par le Cadi, le juge censé statuer sur le Droit musulman classique et qui s’avère fornicateur, pédophile, voleur, spoliateur et complice d’une dictature familiale atroce. Le Mufti est encore pire en matière de détournement de la Loi de Dieu et de celle des hommes.
Certificat de “mort naturelle” par torture, mutilation et assassinat
On apprend ainsi que le Tribunal de Moroni a décidé de ne pas diligenter une enquête sur l’assassinat, après tortures et mutilations, du martyr Ahmed Abdou, le jeune gendarme de 24 ans qui a planté un couteau sur la tête du dictateur Assoumani Azali Boinaheri le vendredi 13 septembre 2024, parce qu’il s’agit d’une «mort naturelle» par torture, mutilation et assassinat de sang-froid. Quelle expertise exquise! Quelle belle compétence médicale! Mais, qui est le grand médecin universel qui est arrivé à une conclusion aussi lumineuse, brillante et flamboyante? Eh bien, il s’agit du Docteur nazi Josef Mengele local, l’inégalable, inimitable et inénarrable «Docteur Médecin Colonel» Naoufal Boina de Hahaya, le propriétaire ayant hérité de son oncle maternel (le brave homme!) son Service de Santé militaire. La belle affaire! Le criminel récidiviste Naoufal Boina n’est pas à sa première escroquerie sanglante médicale, le bougre ensanglanté du sang de ses dizaines de victimes!
Dieu Naoufal Boina: Assassin et trafiquant
On se souvient du martyr Thomas Sankara, «assassiné de mort naturelle par armes à feu» le 15 octobre 1987 par son «frère» Blaise Compaoré. On se souvient de l’article du Canard enchaîné du 10 janvier 1934 annonçant en première page: «Stavisky se suicide d’un coup de revolver qui lui a été tiré à bout portant». On apprend que quelques heures avant que «Stavisky se suicide d’un coup de revolver qui lui a été tiré à bout portant», un certificat médical avait établi que ses jours n’étaient pas en danger!
Ah! Le révolutionnaire Tribunal de Moroni est le lieu de tous les possibles, où trônent les pires pourritures sans humanité, ni dignité, ni personnalité que sont Mohamed Abdou, Youssoufa Ali Djaé, Aïcham Itibar, Ibrahim Ali Mzimba, Damed et d’autres saletés du même acabit!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 25 septembre 2024.
