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Assoumani Azali engueule ses deux fils, ceux-ci assassinent Ahmed Abdou

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Assoumani Azali engueule ses deux fils, ceux-ci assassinent Ahmed Abdou

Le gendarme Ahmed Abdou dit Fanou, 24 ans, fut torturé, massacré, assassiné

Par ARM

       Vivant à l’étranger depuis le samedi 27 septembre 1986, je suis lassé d’être éloigné de Mohéli depuis si longtemps. Il est vrai que je fais tout pour maîtriser ma nostalgie, mais j’ai vraiment envie de rentrer définitivement sur mon île. Cela étant, début août 2024, j’ai annoncé à certains membres de mon entourage ma décision de rentrer définitivement à Mohéli dans environ 6 ans, même si je dois être tué à «l’aéroport» de l’île à mon arrivée, ou avant même d’y arriver. Hélas! Hélas! Hélas! Les conditions abominables de l’assassinat très inhumain du martyr Ahmed Abdou dit Fanou, le jeune gendarme de 24 ans qui a planté un couteau sur la tête du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, m’en ont dissuadé à vie, tant que le dictateur assassin, sa famille de tueurs et voleurs et de ses séides assassins et voleurs seront au pouvoir. Je suis dégoûté à vie par ces assassins doublés de voleurs.

       Dans la soirée du vendredi 13 septembre 2024, quelques heures après avoir reçu sur la tête le coup de couteau du martyr Ahmed Abdou, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri était fou d’une rage rouge et noire. Il a engueulé comme du poisson pourri ses fils Loukman, gendarme à la sauce tomate, et Nour El-Fatah, secrétaire général du gouvernement à la noix de coco transformé en Premier ministre d’opérette, ses successeurs déjà officiels, annoncés et aux aguets: «Je vous confie le pouvoir, et vous êtes incapables de me protéger! Vous êtes des nuls, vous êtes des incapables, vous êtes des lâches!». Imaginez un fou enragé en temps «normal» ce qu’il devient après avoir reçu un coup de couteau sur la tête!

Monsieur Fils, Nour El-Fatah Azali, tortionnaire et assassin

       Pour se racheter auprès de Monsieur Papa, les deux fils au long passé d’assassins sont allés torturer, mutiler et tuer Ahmed Abdou. Ils se sont déjà illustrés tous les deux dans leurs talents de tortionnaires et d’assassins sur leur Ahmed Mohamed Djaza, alors leur Président de leur Commission électorale nationale «indépendante» (CÉNI) corrompue, malsaine, indécente, vile et sale. Ils avaient interdit à la famille de leur Ahmed Mohamed Djaza de jeter un coup d’œil sur le corps torturé et mutilé qui lui était rendu, malgré les photos faites sur le cadavre portant les stigmates d’une torture signée Loukman et Nour El-Fatah Azali. La famille avait obéi. Cela n’a pas été le cas de la famille du martyr Ahmed Abdou.

Monsieur Fils, Loukman Azali, tortionnaire et assassin

       En effet, avant d’enterrer le martyr Ahmed Abdou, sa famille a fait sortir de son linceul son corps pour une toilette mortuaire, découvrant l’horreur d’un corps transformé en immense plaie, après les mutilations dues à la torture, toujours signée Loukman et Nour El-Fatah Azali. Cette horreur inhumaine résulte d’un manque total d’humanité. Et comme si cela ne suffisait pas, il a fallu que le père et le frère du martyr Ahmed Abdou ainsi que la personne ayant procédé à la toilette mortuaire du gendarme soient emprisonnés et menacés pendant des heures, quand les journalistes qui parlent de la barbarie sont également menacés et intimidés. Toute cérémonie religieuse pour l’âme du martyr Ahmed Abdou est interdite.

       Les Comores sont tombées à leur niveau le plus bas de barbarie et d’inhumanité. Tous les Comoriens sont des devenus des cadavres en sursis. Monsieur Père assassin a lancé Messieurs Fils assassins dans l’arène de l’assassinat de sang-froid, et les deux rejetons tortionnaires et assassins sont prêts à toutes les barbaries et inhumanités pour garder le pouvoir. Les limites entre l’humanité et l’inhumanité ont été abolies par un dictateur inhumain, fou et sadique et ses deux fils, également assassins fous et sadiques, sous le regard attendri et les applaudissements de Madame Maman.

       Comoriens, le pire est encore à venir…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 25 septembre 2024.


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