«Papa sollicite votre aide pour me permettre de lui succéder au trône de Beït-Salam»
Nour El Fatah, l’héritier d’Assoumani Azali, quémande des complicités extérieures
Par ARM
Le coup de couteau reçu à la tête par le dictateur et soudard Assoumani Azali Boinaheri de la dictature de Mitsoudjé, le vendredi 13 septembre 2024, a ouvert brusquement les yeux à certains dirigeants étrangers qui soutenaient de manière aveugle l’assassin sadique et fou du Hambou. La mort dans l’âme, ces sponsors, ont fini par admettre que leur poulain ne les conduira pas loin sur les sentiers du pétrole et du gaz dans les abysses de l’océan Indien occidental. Dès lors, le processus de succession par Monsieur Fils Nour El Fatah, fils du dictateur Assoumani Azali Boinaheri et de sa délicieuse et précieuse, première et officielle épouse Ambari Darouèche a été accéléré. Monsieur Fils Nour El Fatah s’invite à toutes les chancelleries pour mendier l’accord de celles-ci afin de pouvoir succéder à Papa, qui ne veut plus retarder son départ de Bête-Salamalecs si c’est pour céder la place à Monsieur Fils. Pourtant, les choses ne se passent pas bien. Pour preuve, le voyage très récent dédié à cette mission à Paris a été un échec cuisant. Ce fut tintin. Tintin. Certaines ambassades ont même refusé de le recevoir. Le pauvre chéri… Il pourra toujours se consoler sur le lit des ministres de Papa comme il aime le faire. On en parle encore à Ntsoudjini. C’est la fin des haricots.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 7 novembre 2024.
