Mouigni Baraka et Ahmed H. Barwane dans la farine de la boulangerie
Les 2 larrons complotent contre leur ennemi intime: Fahmi Saïd Ibrahim
Par ARM
En ces temps pluvieux et cycloniques, les révélations continuent à pleuvoir sur le nouveau coup de Jarnac de Mouigni Baraka, fils Saïd Soilihi, et Ahmed Hassane El Barwane contre leur meilleur ennemi intime, l’homme qu’ils aiment le plus dénigrer, le plus calomnier, le plus diffamer, le plus détester à mort: Maître Fahmi Saïd Ibrahim, candidat indépendant à l’élection des Députés dans la circonscription d’Itsandra Sud contre Saïd Housseine Aboubacar dit Idarousse, candidat du régime politique en place. Ce qui est très risible mais gravissime dans l’affaire, c’est que les deux larrons en foire que sont Mouigni Baraka, fils Saïd Soilihi, et Ahmed Hassane El Barwane, qui se déclarent chefs de l’opposition nationale, sont prêts à tuer femme et enfants pour être reconnus officiellement comme seuls et véritables leaders de cette opposition, mais sont comme cul et chemise avec le pouvoir politique qu’ils jurent combattre.
Les deux comploteurs en herbe aux méthodes infantiles ont organisé une réunion de secret de Polichinelle à la boulangerie du boulanger Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, avec le Directeur de campagne électorale de Saïd Housseine Aboubacar dit Idarousse, l’adversaire de Maître Fahmi Saïd Ibrahim, le candidat du pouvoir en place, et ce, pour un seul but: faire perdre à Maître Fahmi Saïd Ibrahim une élection qu’il ne court aucun risque de perdre s’il s’agit d’un vrai scrutin.
C’est émouvant! C’est tellement émouvant que Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, a déjà quémandé le titre officiel de chef officiel de l’opposition, établissant dans la foulée la liste de ses demandes personnelles (salaire, fonds spéciaux, voiture avec sirène hurlante, un cabri à égorger du côté d’Itsoundzou, une fois par semaine comme quand il trônait au Gouvernorat de la Grande-Comore…). Quant à Ahmed Hassane El Barwane, qui règne sans partage sur le Parti Juwa de l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, il s’agite un peu trop, mais pour tenter de faire oublier l’inoubliable: son manque total de légitimité à la tête de la formation partisane précitée, et son refus catégorique d’organiser le congrès devant désigner son successeur. Mais, bon… Ahmed Hassane El Barwane «gratte» comme il peut auprès du pouvoir («Il faut bien vivre», dit-il à ses visiteurs du soir), inventant des dettes que ses employeurs du pouvoir «remboursent». Il a pour excuse: «Azali m’avait emprisonné, Azali m’a libéré. Je l’ai excusé». Quelle grandeur d’âme! Pourtant, comme déjà souligné, Maître Fahmi Saïd Ibrahim s’est présenté à cette élection en candidat indépendant, n’engageant aucun parti politique, pas même le Parti Juwa, dont il est pourtant membre.
Par ARM
Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Dimanche 2 février 2025.