Daoula Ya Haki, un gadget raciste de Grande-Comore
La chose est une organisation extrémiste tout à fait inutile
Par ARM
La publication d’un article, le dimanche 25 avril 2021, évoquant les dérives voyeuristes et extrémistes du gadget Daoula Ya Haki, «État de Droit», prétendant militer pour l’État de Droit et la démocratie aux Comores, a valu à votre site préféré un courrier abondant et furieux venant de Mohéliens. Pour ces derniers, Daoula Ya Haki est un gadget raciste ne regroupant que des Grands-Comoriens, méprisant les Mohéliens et les Anjouanais. Les Mohéliens assimilent Daoula Ya Haki aux autres mouvements racistes de Grande-Comore que sont le parti RIDJA de Saïd Larifou, l’avocat déchu et tombé du tomatier, et le prétendu Comité Mahorais, ne regroupant que des Grands-Comoriens. On se souvient du prétendu Comité Mahorais qui, alors que le coronavirus tuait par dizaines les Mohéliens de décembre 2020 à février 2021, avait déclaré que «par dignité et honneur», il préférait la mort des Mohéliens à l’aide médicale et sanitaire venant de Mayotte, parce que l’honorable Député Mansour Kamardine, très sensible et touché par la détresse des Mohéliens, s’était de bon droit et à juste titre indigné du génocide qui se déroulait à Mohéli.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 26 avril 2021.
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Anly
avril 26, 2021 at 5:23DAWULA YA HAKI YIYO TSI SHAMA LA SIYASA. YIYO MAHUTADJIYO YAWANADAMU WATSAHAWO NTSI IKAWO WOWANADAMU WAKE SAWA HARUMWA YE MAHAKAMA. Celui qui ne veut pas un état de droit, aura le monopole d’un état injuste. Un état de droit est un idéal vers lequel chacun aspire. Militer ou se battre pour un état de droit ne veut pas dire appartenir à un parti. Par contre des partis politiques peuvent militer pour un état de droit comme d’autres s’accrochent aux injustices. Si certains comoriens se mobilisent pour cet idéal, d’autres peuvent s’y joindre ou entreprendre d’autres démarches pour y parvenir. L’idée selon laquelle, dawula ya haki serait exclusivement grand comorien, c’est laisser croire que seuls les insulaires de je ne sais où peuvent aspirer à un état de droit. Or, il s’agit d’un idéal pour lequel des femmes et des hommes du monde se battent, se sacrifient pour une vie paisible et harmonieuse.