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Chapelet géant et boubou voyant à la mosquée pour Boléro et son pote Sako

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Chapelet géant et boubou voyant à la mosquée pour Boléro et son pote Sako

L’étalage de la tartufferie des ripoux de la «Ripoux-blique» énerve les citoyens

Par ARM

       Il avait fallu de ma part beaucoup de diplomatie pour calmer la colère de mon amie Faïrouz de Foumbouni, au Sud de la Grande-Comore. Faïrouz est en colère parce qu’elle n’a pas compris pourquoi l’ancien berger Djaé Ahamada Chanfi a été le seul mauvais garçon ayant été stigmatisé par l’article portant sur l’hypocrisie «religieuse» des mauvais dirigeants s’exhibant à «La Mosquée de l’Assemblée» pour être vus à la télévision: «Les pires des phacochères du conte de Birago Diop sont absents de l’article. Certes, je ne porte pas sur le cœur ce bandit de Djaé Ahamada Chanfi. C’est un bandit immoral de la pire espèce. Il ne vaut rien. Mais, dans la galerie des Tartuffes, il y a également le fugitif international Hamada Madi Boléro, le Procureur toxique, incompétent et corrompu Soilihi Mahamoud dit Sako ou Massa Kokari, l’ivrogne national Moustadroine Abdou “Mafitsiˮ, “Foutaisesˮ, le Mufti-Cardinal défroqué, l’amant de l’autre, et bien d’autres. Regarde bien ces deux photos. Ces rigolos ne croient pas en Dieu. Ce sont des athées qui veulent juste être vus à la mosquée par les gens qui regardent la télévision des Comores. Le plus grand athée qu’il y a aux Comores est le fugitif international Hamada Madi Boléro. D’ailleurs, depuis quand ce paltoquet jeûne-t-il, lui qui est connu pour manger le jour en plein mois de Ramadan, tout en prétendant le contraire? Je ne l’aime pas, je l’avoue».

     Le Mufti-Cardinale défroqué, Moustadroine Abdou «Mafitsi», «Foutaises», et l’amant de l’autre à «La Mosquée de l’Assemblée» 

  La seule excuse qu’ont ces Tartuffes repose sur le fait que c’est Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, qui a introduit les chapelets de tailles monstrueuses sur la scène politique aux Comores. C’était sous le règne des Mohéliens de Bête-Salam. Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, alors Gouverneur catcheur-boxeur et arracheur de dents de Grande-Comore, se présentait à la Présidence le soir muni d’un gigantesque chapelet, répétant des mots décousus sous forme de prière. Dans sa naïveté, Ikililou Dhoinine croyait que Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, était un croyant sincère. Le Tartuffe! Le boulanger-boxeur-catcheur ne faisait que demander à Dieu des chèvres pour ses fameux pique-niques du côté d’Itsoudzou.

       En observant le capuchon bleu de mauvais goût qu’arbore le fugitif international Hamada Madi Boléro à la mosquée pour faire comprendre aux uns et aux autres qu’il a sacrifié à la coutume du grand mariage, on ne peut pas s’empêcher de penser au phacochère du conte de Birago Diop auquel faisait allusion mon amie Faïrouz: «Tel est le roi sans trône. Le roi déchu se fait marabout. Confit en dévotion, il recherche dans la religion sa supériorité perdue. Son gros chapelet, son grand bonnet, son boubou voyant en imposent au commun. Sa splendeur passée, croit-il, ne meurt pas ainsi entièrement, puisque l’on parle encore de lui et qu’on le vénère. Sa dévotion n’est qu’extérieure. Rendez-lui son trône, il oublie ses prières. Un roi ne peut être religieux»: Birago Diop: Les Contes d’Amadou Koumba, Présence africaine, Paris, 1961, p. 163.

       Et si on faisait les Assises nationales sur la tartuferie des mauvais dirigeants aux Comores.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 30 mars 2025.


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