Assoumani Azali cache encore ses blessures à la communauté internationale
Le pauvre chéri! Privé de photos avec les dirigeants étrangers par un couteau!
Par ARM
Des vrais patriotes sont en train de réfléchir sur la manière de transformer les dates du 13-Septembre et de Vendredi-13 en Grandes Fêtes patriotiques. Chaque année compte au moins un Vendredi-13. Ces patriotes ont raison. En effet, l’Histoire des Comores vient de s’enrichir d’une nouvelle date, et il s’agit d’une date sur un évènement très heureux: le vendredi 13 septembre 2024.
Dans certains milieux chrétiens, le Vendredi-13 est loin d’être une date anodine. On parle de Jésus-Christ entouré de ses 12 apôtres. Jésus-Christ + 12 = 13. Il y avait alors 13 personnes autour de la table. Une certaine croyance chrétienne fait accréditer la certitude selon laquelle la treizième personne était le traître Judas, l’apôtre accusé d’avoir trahi Jésus-Christ en le livrant à ses ennemis, l’ancêtre des traîtres du monde entier. C’est ainsi que pour certains chrétiens, le Vendredi-13 est associé au malheur et au deuil, tandis que pour d’autres, il est annonciateur de bonheur et de joie. Jouons au loto le Vendredi-13.
Aux Comores, le Vendredi-13 est devenu synonyme de joie et de bonheur, et ce, parce que le vendredi 13 septembre 2024, le martyr Ahmed Abdou a planté un couteau sur la tête du dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri de sinistre mémoire ensanglantée et endeuillée. C’est pour cela que le Vendredi-13 et le 13-Septembre vont entrer dans le calendrier patriotique comme jours de fêtes patriotiques.
Nomination du nouveau secrétaire général de la Commission de l’océan Indien sans le dictateur Assoumani Azali
Le vendredi 13 septembre 2024, une première victoire patriotique a été remportée contre le dictateur fou de Mitsoudjé et sa clique de voleurs de poules et de linceuls de morts: le dictateur Assoumani Azali Boinaheri n’est pas parti cancaner, pérorer et délirer devant les dirigeants étrangers lors de la réunion annuelle de l’Assemblée de l’ONU. Il est resté panser ses plaies dans son douar de Mitsoudjé, en broyant du noir. Fait également réjouissant, il n’a même pas pu assister à la désignation du nouveau secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI), Edgard Razafindravahy, ancien ministre de l’Industrialisation, du Commerce et de la Consommation de Madagascar, lui qui ne rate même pas la nomination des agents de nettoyage des chiottes du Palais de l’Union africaine (où il a une copine) et des Nations Unies. Le dictateur fou de l’océan Indien cache à la communauté internationale ses blessures parce que ça ferait sale si elles se voyaient. On l’interrogerait. Ça aurait été sale de dire à des étrangers: «Je suis tellement haï, détesté et exécré par les Comoriens, gens pacifiques et gentils, que l’un d’entre eux m’a planté un couteau à la tête».
Comment un dictateur «élu» «à 104%» en janvier 2024 peut-il être blessé en septembre 2024? Il n’a été blessé par personne puisque «104%» des Comoriens l’aiment et dansent avec lui. La semaine du couteau, un site internet comorien n’affirma-t-il pas qu’il était «de plus en plus populaire à Anjouan»? Voire… Les gens qui parlent de blessures au couteau sont donc des jaloux, des grincheux et des rabat-joies.
Soyons sport.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 3 octobre 2024.