Abolhassan Bani-Sadr daubait-il déjà, par prophétie, sur «le spécialiste» Boléro?
Quand il a fait des tartines sur les hypocrites en politique, on en a bien l’impression
Par ARM
Une certaine tendance à l’exagération conduit, de manière répétée et dégoûtante, le fugitif international Hamada Madi Boléro à s’encenser, s’autocélébrer et s’autoproclamer «expert et spécialiste en Droit international public, en Diplomatie et en Relations internationales». Rien que ça! D’ailleurs, des patriotes sincères de Foumbouni demandent à ce qu’il lui soit dit ouvertement qu’en la matière, on attend que la reconnaissance d’expertise soit faite par les autres. Il est mauvais, très mauvais, indécent, très indécent, malsain, très malsain, de dire: «Je suis expert en ceci, spécialiste en cela». Mais, il ne perd rien pour attendre, en ceci qu’il lui sera dit ce qui doit lui être dit afin que la chose soit claire dans les esprits. C’est une question d’heures. Et l’heure sonnera, avant qu’il ne s’autoproclame «expert en religion, spécialiste en théologie», lui dont le corps entier est couvert de l’auréole de celui qui fait la prière avec assiduité et «piété». Tartuffe pâlit désormais de jalousie puisque sa place de faux dévot est désormais ravie par plus hypocrite et plus fourbe que lui. C’est un fait.
Abolhassan Bani-Sadr et l’Ayatollah Rouhollah Khomeyni avant la rupture entre les deux hommes
Nous voici devant un livre écrit par trois grandes personnalités d’origines nationales différentes qui sont intervenues dans l’infernal dénouement de l’infernale prise d’otages du personnel diplomatique et consulaire des États-Unis en Iran, au début de la République islamique, pendant 444 jours, du 4 novembre 1979 au 20 janvier 1981. Les trois auteurs évoquent des propos d’Abolhassan Bani-Sadr (1933-2021), ancien ministre des Affaires étrangères puis premier Président, élu, de la République islamique d’Iran (1980-1981), avant de tomber en disgrâce auprès de l’Ayatollah Rohollah Khomeyni, devant sauver sa vie à la faveur d’une fuite, comme s’il était un vulgaire voleur de poules. Il vivra en exil à Paris, où il est mort le 9 octobre 2021.
Abolhassan Bani-Sadr avait dénoncé les Tartuffes de la politique en Iran d’une manière qui fait croire qu’il stigmatisait en personne le fugitif international Hamada Madi Boléro, en classe de 6ème, au Collège de Fomboni, au moment des faits: «D’opposants à l’autoritarisme du nouveau pouvoir, ils se convertirent en défenseurs de ce même pouvoir. Favorables à la liberté de la presse, ils acceptèrent l’instauration de la censure. Partisans de la liberté d’action des partis et groupes politiques, ils sont devenus les tenants du parti unique. Opposants à la transformation des tribunaux révolutionnaires en instruments de répression et d’oppression, ils en sont devenus les défenseurs. Partisans de la collaboration avec les intellectuels, ils ont pris la tête de la répression»: Cité par Mohammed Bedjaoui, Flavio Meroni et Ahmad Salamantian: L’Amérique en otage. 444 jours de diplomatie secrète en Iran, Les Éditions Riveneuve, Paris, 2022, p. 139.
N’est-ce pas le portrait tout craché du fugitif international Hamada Madi Boléro, surnommé Dracula et Ébola par les jeunes de Djoiezi dans «Kala Wa Dala», leur tract historique de mai 2014, même si on sait que «l’expert autoproclamé et spécialiste autocélébré», «laborantin» des Mohéliens de Bête-Salam, est le créateur réel et revendiqué de la dictature actuelle?
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 12 mai 2025.