Saïd Larifou, bientôt jugé à Mayotte: coups et blessures
Tombé du tomatier, il poursuit sa vile descente aux enfers
Par ARM
Jusqu’à quel sous-sol de la descente aux enfers tombera Saïd Larifou, qui représentait l’alternative la plus crédible au putschiste Assoumani Azali Boinaheri au début des années 2000, qui dirigeait un cabinet d’Avocat à la Réunion, avant d’être interdit d’exercice du métier d’Avocat sur le territoire français, avant de devenir le chantre du racolage politique, lui qui a mangé à tous les râteliers et soutenu les pires horreurs de la dictature de Mitsoudjé, des «Assises nationales» du broyage du Droit, de la Constitution et des institutions, en février 2018, à la suppression de la Cour constitutionnelle en avril 2018 et à l’octroi dans la violence inouïe de la «non-Constitution de la main coupée et de la mort» du lundi 30 juillet 2018? Lui, l’ancien ministre du «Gouvernement en exil», va être jugé par le Tribunal de Mamoudzou, à Mayotte, pour complicité de coups et blessures, un délit pénal «réservé» aux mauvais garçons et non à un Avocat aspirant aux plus hautes fonctions étatiques. Va-t-il mobiliser la prière des Témoins de Jéhovah, ses coreligionnaires, et celle des Catholiques à l’église de Ségou, au Mali, où il est Cardinal? Qu’on le dise au peuple pour que la chose soit claire dans les esprits.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 21 juillet 2023.
2 Comments
Moufid
juillet 24, 2023 at 10:40Bonjour,
Curieux que nous sommes, voulons impatiemment savoir qui a asséné des coups à qui et comment l’avocat de Sonko a-t-il été complice dans cette affaire.
Cordialement
ARM
juillet 26, 2023 at 5:52Moufid, bonjour,
Si j’en dis plus, on va m’enterrer MORT dans les heures qui suivent. Pour éviter cette fâcheuse éventualité, attendons le début du procès. C’est une affaire très dangereuse, impliquant des gens qui ne plaisantent pas et dont les moyens sont à craindre. Saïd Larifou est un demi-sel, de la petite bière, mais pas ses complices. Je ne suis pas une poule mouillée, mais tout de même.
Soyons prudents.
De toute façon, l’information provient d’une source “sécurisée”.
Cordialement,
ARM