Première masturbation électrique de l’Histoire mondiale
Azali Assoumani et ses petits lascars mentent aux Comoriens
Par ARM
Quelle honte d’État! Quelle hypocrisie irresponsable, blasphématoire, indécente et malsaine! Et la dictatrice Ambari, qui ne pouvait pas rester sagement chez elle et qui a cru bien faire en allant s’exposer à la haine renouvelée des Comoriens à son égard dans la plus grande opération mafieuse en matière de mensonge d’État! Oui, au nom du «rattrapage ethnique», il fallait qu’elle aille afficher sans vergogne sa gouaille là où elle croit avoir sa place, dans le mensonge d’un régime politique honni, ignorant que quand, dans très peu de temps, les Comoriens se mettront à parler de la grande hypocrisie du dimanche 5 février 2017, elle sera associée à cette débauche de dévergondage.
Et il y a Msa Ali Djamal, plus haï, détesté et méprisé que jamais à cause d’une petitesse qui n’évacue ni une inélégance déontologique, ni une flagornerie obséquieuse qui l’ont réduit à l’état de triste sire et de laquais. Oui, il faut parler du servile Msa Ali Djamal, fier comme Artaban depuis qu’il peut se rendre à Chezani-Mboinkou, son village natal qu’il a renié au profit de Mitsoudjé, où il croit naïvement que son chef, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani est chez lui. Aux dernières nouvelles, Msa Ali Djamal, qui se prend pour la réincarnation du sociologue Pierre Bourdieu (1930-2002), a remué les rares fidèles qui lui restent dans les tunnels du métro de Paris afin de lui acheter une tenue spéciale pour ce funeste dimanche 5 février 2017. Résultat des courses, il se retrouva avec une tenue innommable aux allures d’accoutrement d’un Karamoko de Nzérékoré, tenue qui lui a été achetée par terre au marché de rue de la station de métro de Porte de Montreuil. Triste! Triste spectacle!
Du mauvais naissant toujours le pire, on vit également le «concubinocrate» Azali Assoumani et l’arrière-ban de ses roquets s’afficher dans une tenue burlesque (on dirait des cosmonautes de série B) à faire honte à une armée de singes aux fesses pelées du Bonobo et à un troupeau d’hyènes du Ferlo. Quelle honte! Regardez la photo accompagnant cet article et observez la bouche du dictateur. On dirait un gommeux boutonneux aux oreilles décollées devant le jouet dont il rêvait depuis des éternités. Ce spectacle est affligeant et immoral. Il est d’autant plus affligeant et immoral qu’il relève d’une masturbation jamais vue quelque part dans le monde avant. En effet, on ment aux Comoriens en prétendant que les problèmes d’électricité sont terminés à la Grande-Comore, même si on sait que les Comores ne se limitent pas à la seule Grande-Comore. En plus, l’électricité n’est pas arrivée partout en Grande-Comore, et les coupures intempestives et les délestages ne sont pas terminés, loin s’en faut. Qu’on se le dise! Dans les villages, on se plaint. À Moroni, on ricane.
Au surplus, le Colonel Mohamed Soilihi dit Campagnard, qui vient de se faire évincer de la Direction de la MAMWÉ uniquement parce qu’il est honnête et héroïque, avait de fracassantes révélations à faire au sujet de la nature exacte des groupes électrogènes glorifiés, mais on l’empêche de parler. Or, ce qu’il a à dire à ce sujet est tout simplement mortel: ces moteurs sont d’occasion, sont usagés et ne vont pas pouvoir tenir 3 mois car Jean-Marc Heintz a livré de la camelote de merde aux Comoriens. L’opération relève de l’escroquerie parce que, de surcroît, Bellou, Directeur du Cabinet de son maître en charge de la Défense et auteur d’un faux témoignage retentissant en faveur de son pote Hamadi Idarousse à l’époque où il avait volé beaucoup d’argent et de matériel du ministère de la Production, a biberonné en compagnie du même Hamadi Idarousse, surnommé «Tonton-m’a-dit» depuis qu’il est nommé secrétaire général du gouvernement sans la moindre expertise, mais avec beaucoup de morgue. Naturellement, quand les deux lascars ont touché 270 millions de francs comoriens en rétro-commissions sur le dossier des groupes électrogènes, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani est mouillé dans l’affaire avec eux jusqu’au cou puisqu’il a sa part du gâteau et a avalisé la chose.
De la même manière, le beau-frère Djaanfar Ahmed Saïd Hassani (ouf!) a sa part puisqu’il a été l’homme qui a signé le contrat bidon avec Salama Blablas, qui a disparu avec 6 milliards de francs comoriens sans que les Comoriens ne voient la couleur des groupes électrogènes. Il avait fallu mettre dans le coup l’ami Jean-Marc Heintz, avec les résultats désastreux qu’on connaît. Par la suite, toute honte bue, Djaanfar Ahmed Saïd Hassani (ouf!) prétendra avoir fait l’objet d’un vol au salon VIP de l’aéroport de Nairobi, alors qu’il venait de voler lui-même l’argent des Comoriens. En même temps, on ne comprendra jamais la manie qu’ont les autorités comoriennes à trimballer des valises d’argent alors qu’existe ce qu’on appelle dans tous les pays du monde une carte bancaire. C’est pour toutes ces raisons que son «beauf» Azali Assoumani lui a craché à la figure quand il s’est présenté devant lui pour traiter «Tonton-m’a-dit» de «voleur de merde», même s’il est effectivement.
Donc, les célébrations et beuveries en tous genres auxquelles se livrent les pouvoirs publics de l’usurpation en ce moment comme aux temps des danses de «Bumping» de rue à Moroni de «Lélé Mama» à Mbéni vont finir en queue de poisson. Il s’agit d’une tromperie de bas étage. Dans quelques jours, les Comoriens qui reçoivent un semblant d’électricité vont se rendre compte qu’on se moque d’eux, alors que dans l’arrière-pays, cette journée du dimanche 5 février 2017 n’a rien changé de la vie de la population locale, si l’on fait abstraction du spectacle offert par le costume bas de gamme et bon marché de Msa Ali Djamal.
En d’autres termes, la vie suit son cours morne et terne pour des milliers de Comoriens. Et surtout qu’on n’oublie pas ce qui se passe à Mohéli, où les gens continuent à vivre dans l’obscurité. S’agissant d’Anjouan, le problème est purement local dans la mesure où l’île a sa propre société d’eau et d’électricité, qui n’a aucune relation fonctionnelle avec l’entreprise obscène MAMWÉ. Circulez, il n’y a rien à voir…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 6 février 2017.
2 Comments
Alley
février 6, 2017 at 8:14comment MAMWE va t elle tenir? impossible. POURQUOI?
1: MAMWE a une dette au près des hydrocarbures de 11 000 000 000 fkm.
2:Ces moteurs consomment 3 060 000 L par mois, comment va t elle acheter ces millions de litres de gazol?
3: Je ne parle pas de la masse salariale de la MAMWE, ni du coup d’exploitation et de fonctionnement de ces épaves.
4: Des moteurs d’occasion, dont les pièces de rechange ne sont pas assuré introuvable nul part.
vous avez du mwendje! alors dépêchez vous à charger vos PC, vos téléphones car ça ne va pas durer.
Tadjidine
février 6, 2017 at 10:18MAMWE ou MAMBWE:
Certes, je ne suis pas un expert pour analyser des photos mais je ne suis pas aveugle cette photo accompagnée de cet article montre bel et bien les gagnants et les perdants. Les visages ZA HE ADJALI YAHE Comori s’affiche clairement dans la photo. Malheurs à ceux qui croient aux tortues ninja, un des dessins animés préférés d’une grande partie des enfants de l’hexagone.
Concernant le colonel héros Soilih CAMPAGNARD, la situation est claire aujourd’hui car je me suis toujours demandé pourquoi il était dans ce gang et putsh, et pourtant ils n’a rien en commun avec les fétiches de l’argent des comoriens.
YA AMBARI il est grand temps d’oubli les hués de 2006, je te le promet qu’en 2021 ça sera des cailloux et des tomates MDR