Nos prières pour que 2025 soit pour vous une bonne année, de bonheur
Ensemble, nous prions pour que 2025 inaugure une ère de bien-être partagé
Par ARM
À nos chers lecteurs, à nos chères lectrices, à leurs proches et à leurs entourages respectifs, nous présentons nos meilleurs vœux de bonheur partagé pour l’année 2025. Nous prions pour que celle-ci soit celle de la réalisation de tous vos rêves de bonne santé, amour, tolérance, apaisement, modération, respect de l’autre, entente, sérénité et bien-être, dans la paix et la sécurité. Oui, dans la paix et la sécurité.
Ces vœux fraternels sont présentés à toutes les personnes, abstraction faite de leurs origines géographiques, races, croyances et convictions philosophiques, politiques et civiques.
De fait, nous assumons entièrement et totalement le choix et la liberté de prier pour la fin, enfin, de la Grande Dictature, celle la plus destructrice, la plus mortelle, la plus invivable, la plus impitoyable, la plus inhumaine, celle d’une communauté insulaire privant les Mahorais et les Mohéliens de vie, de liberté, de droits, de leurs propriétés individuelles et collectives, s’immisçant illégalement et inhumainement dans leurs maisons, dans leurs terrains, dans leur milieu naturel et humain, tuant en toute impunité, volant en toute impunité, pillant en toute impunité même les victimes du Cyclone Chido, au moment même du drame, dénaturant mortellement, en toute impunité le cadre et le socle de vie de Mayotte et de Mohéli, agitant et maniant des machettes et des couteaux, et imposant la mort quand les Mohéliens et les Mahorais réclament la terre de leurs ancêtres et le bien produit sur celle-ci, qu’ils voient souvent partir au large à bord de vedettes de voleurs, criminels et terroristes.
Le samedi 14 décembre 2024, le Cyclone Chido a tué, dont ceux qui s’arrogent un droit de mort et de vie sur les autres, toujours en toute impunité, les poussant pour la première fois à penser et à renouer avec leurs origines insulaires, qu’ils nient de plus en plus. Mais, les Mohéliens et les Mahorais ne peuvent pas attendre que la Justice vienne des cyclones.
S’agissant de la Petite Dictature, elle est celle d’un homme, de sa famille, de son clan et de son entourage. Il nous arrive de l’oublier. Elle nous dérange nettement moins, nous insupporte nettement moins, nous indigne nettement moins, car elle ne s’invite pas dans nos maisons, ne nous pose pas des machettes à la gorge pour nous voler nuit et jour, dans la rue et dans nos maisons, ne pille pas nos biens personnels, comme la Grande Dictature insulaire.
La Petite Dictature est moins nocive et dangereuse que la Grande Dictature insulaire parce que cette dernière évacue toute forme d’humanité, notamment quand certains de ses membres, obligés par la Loi de rentrer sur leur île, abandonnent volontairement leurs enfants à l’étranger, les préparant ainsi à devenir des voleurs, des criminels et des terroristes.
L’heure de vérité ayant sonné, il est temps de se regarder dans le blanc des yeux et se dire qu’on ne peut pas prétendre combattre la Petite Dictature, celle d’un homme, tout en protégeant celle d’une communauté insulaire, dans la déshumanisation, en continuant à s’en faire complice, par complaisance bien-pensante.
Au total, c’est sous le magistère moral et la bienveillance de notre frère Ahmed Ali Amir – un modèle de tolérance, de modération, d’humanité, de patriotisme démocratique et sincère, de professionnalisme, et de promotion de l’État de Droit et de la démocratie – que, une fois de plus, nous vous présentons nos meilleurs vœux de bonne année.
Très bonne année 2025.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 30 décembre 2020.