Azali Assoumani viole les Comoriens et boit leur sang
Le «pouvoiriste» va nommer un narcotrafiquant Ambassadeur
Par ARM
«L’unique salut du condamné à mort est de n’espérer aucun salut», écrivait Virgile (70-19) dans L’Énéide (29-19). Une autre traduction donne: «L’unique salut des vaincus est de n’espérer aucun salut». Bref… Justement, les Comoriens n’espèrent plus rien de la part du «pouvoiriste» Azali Assoumani puisque lui-même ne sait pas où il va. Et, il ne va nulle part. Des idioties par-ci, des gamineries par-là, de la gabegie par-ci, des vols d’argent public par-là, du copinage par-ci, du népotisme par-là, et rien de tout ça ne fait d’un bougre entouré de bougres un bon chef d’État, mais un pauvre type, même s’il est pourri d’argent, un argent nécessairement sale.
Une fois de plus, les Comoriens sont obligés de suivre le fameux conseil de feue Régine Deforges (1935-2014): une femme qui se fait violer et qui n’arrive pas à se débarrasser de son ignoble violeur doit prendre la meilleure position pour tirer du plaisir de son viol. Aujourd’hui, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani et sa bande de roquets sont en train de violer tout un peuple. Le peuple comorien. Le bon peuple comorien dit: «Tiens! Comme je ne peux pas me débarrasser de mon ignoble violeur, je vais suivre le fameux conseil de Tatie Régine Desforge et tirer du plaisir de mon viol. Mais, chaque fois que mon regard croise celui de mon ignoble violeur, j’ai la nausée et je ne peux pas tirer du plaisir de mon viol». En effet, le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani et consorts donnent la nausée aux Comoriens. Ils sont des violeurs dégoûtants. Ils ont échoué. Ils n’ont aucun moyen de réussir.
De bonnes âmes nous disent avec une pointe de complaisance démagogique et d’hypocrisie dans la voix que 100 jours ne suffisent pas pour savoir si le gouvernement est dans la bonne voie ou pas. Ils mentent et se trompent lourdement. Les 100 premiers jours permettent de savoir si le gouvernement est dans la bonne voie ou pas. Et si, aujourd’hui, quelqu’un ose prétendre que les autorités actuelles ont pris une seule mesure salutaire, une mesure qui a apporté du bonheur aux Comoriens, c’est qu’il s’agit d’un fieffé menteur doublé d’un escroc. L’usurpateur Azali Assoumani et ses roquets sont dans l’échec intégral, et leur échec a une double origine: d’une part, ces gens-là n’ont ni culture d’État, ni vision pour faire sortir le pays de ses malheurs. D’autre part, ils n’ont aucune volonté de bien faire. «Au suivant, au suivant…», «moi aussi». En privé, nombre de Comoriens qui avaient soutenu l’homme enceinte de Beït-Salam s’en mordent les doigts aujourd’hui. En réalité, ils ont été très complaisants et aveugles, mais sont en train de retrouver la vue. Un «chef d’État» qui licencie méchamment des milliers de Comoriens pour placer les siens ne peut jamais être quelqu’un de sérieux, et le «pouvoiriste» n’est pas quelqu’un de sérieux, de bien, non plus.
Et, dans l’affaire, il y a également les Gouverneurs des îles autonomes. De 2011 à 2016, on pouvait dire que le Gouverneur Anissi Chamsidine d’Anjouan administrait son île en bon père de famille. Mais, aujourd’hui, des Gouverneurs des trois îles, qui est sérieux? Aucun! Ce sont des plaisantins et des rigolos. Ils sont incompétents et corrompus. Ce sont des farceurs spécialisés dans la farce sinistre. À la Grande-Comore, Hassani Hamadi, le candidat au second tour du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani et de l’«apatrîle» français Ahmed Sambi s’est craché la gueule. Il est devenu le vaurien de Mrodjou, et déjà à la Grande-Comore, on estime que le grand Mouigni Baraka Saïd Soilihi était nettement meilleur. Oui, la Grande-Comore regrette les temps de son flamboyant Mouigni Baraka Saïd Soilihi, qui avait plus de gueule et plus de panache. De la classe aussi. De l’autorité également.
Hassani Hamadi a chassé de leurs emplois beaucoup de Grands-Comoriens, à qui il n’a rien proposé. À Mohéli, la seule chose qui intéresse le Gouverneur Mohamed Saïd Fazul est la transformation de la voie publique en fosses septiques pour sa maison, une maison dont la construction était en berne depuis des siècles et qui flotte désormais au vent depuis que l’enfant de Boingoma est de retour à Bonovo, juste en face de… Boingoma. Au fait, comment s’appelle déjà le Gouverneur d’Anjouan? S’appelle-t-il Abdou Salami Abdou ou Salami Abdou Salami? L’intéressé lui-même ne le sait pas. C’est pour cela qu’on l’appelle simplement Salami. Il a tout loupé, le bougre. Son projet de développement du tourisme sur l’île a fait pschitt, exactement comme son maître Ahmed Sambi a fait un bide énorme avec son immense escroquerie répondant au doux nom de «Projet Habitat», pour lequel l’ancien tyran avait reçu de l’Arabie Saoudite 5 millions d’euros, soit 2,5 milliards de francs comoriens. Comme Abdou Salami Abdou (ou Salami Abdou Salami) est un bon élève ayant beaucoup appris de son maître, le menteur professionnel Ahmed Sambi, et comme il est emporté par une haine morbide, il a licencié des Comoriens, mais, au lieu de diminuer, la masse salariale de son Gouvernorat a implosé, passant de 508 millions de francs comoriens à 512 millions. Merci…
Les Comores sont dans l’impasse. Les Comoriens sont dans le désespoir. Désormais, seuls les gogos et les gagas se font des illusions sur le «pouvoiriste» polygame et sa bande de roquets. Depuis les 23-26 mai 2016, de nulle part, n’est venue une lumière devant donner une petite lueur d’espoir aux Comoriens.
En attendant, les Comoriens apprennent qu’un narcotrafiquant est en voie d’être nommé Ambassadeur. Dans une capitale occidentale. Oui, un narcotrafiquant lié à un trafiquant d’origine étrangère. Les deux hommes ont été très actifs lors de la période électorale. Ils ont beaucoup d’argent et se donnent un mal fou en ce moment parce qu’ils cherchent à le blanchir dans le domaine des nouvelles technologies. Une première tentative a échoué. Maintenant que leur copain l’usurpateur Azali Assoumani est aux commandes pour le malheur des Comoriens, ils vont pouvoir blanchir leur «flousse» et donner au «pouvoiriste» sa part d’argent sale. N’oublions pas que la première fois que les Comoriens ont entendu parler de fausse monnaie dans leur pays, c’était lors de la première présidence mafieuse du «pouvoiriste». Et les faux-monnayeurs étaient tous liés au «pouvoiriste» et à son âme damnée, le fugitif international Hamada Madi Boléro. Le moment venu, des noms seront cités…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 7 septembre 2016.
2 Comments
mdjassiri
septembre 8, 2016 at 7:03Hassani Hamadi pire que Mouigni Baraka ? Mgu nahozwa nengazidja ba yapvo hotrangani hufu mdru. Ndjadiwaza ye ndzuwani. Ndjavumbuwa Salami hawukaya ye Gouverneur mdzuwani ye wu parwa Sambi. Mwali mtsawuwa mredjedze mdru yakaya Gouverneur yatsu fanya Ndrongowo eka tsi madjosho. Mwinyi Baraka kadjakana ndrongow eka tsi djosho. hata zembuzi zemwona zidotrawa. Et vous dites qu’il avait de la panache? Que ceux qui aiment réellement leur pays- je crois que vus en faites partie- multiplient les douas pendant ces 10 premiers jours bénis de Dhul Hidja pour qu’Allah nous pardonne, nous apporte Son Secours et Sa Miséricorde et nous envoie de meilleurs dirigeants!
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Bonjour, frère,
Je suis littéralement mort de rire. Votre analyse est vraie à 99,99%.
Cordialement,
ARM
mdjassiri
septembre 8, 2016 at 7:05J’ai trouvé une solution qui satisfera tout le monde au sujet des politicards comoriens qui passent leur temps à attraper des vaches (Azali) ou à organiser des grillades de chèvres (Mouigni Baraka et Mohamed Said Fadhuil). Il faut les envoyer paître!