Azali Assoumani porte le slip plus haut que le pantalon
Son mépris pour Anjouan et Mohéli nourrit le séparatisme
Par ARM
Quand on lit les prétendus «Mémoires» du fugitif international Hamada Madi Boléro, l’homme qui reconnaît lui-même sa pédophilie sur ses élèves mineures de collège, on ne peut qu’être scandalisé par la complaisance criminelle et l’irresponsabilité crasse avec lesquelles ce voyou et son «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani traitaient le séparatisme anjouanais. Pour ces criminels irresponsables, la crise séparatiste anjouanaise était du pain bénit parce qu’elle leur permettait de justifier toute leur incompétence et tous leurs crimes. Le scandale est d’autant plus assuré que Hamada Madi Boléro, le fugitif international reconnaissant sa pédophilie en milieu scolaire, parle d’Abou Achirafi Ali Bacar, le «Pablo Escobar comorien», comme s’il s’agissait d’un chérubin. Mais, il ne faut jamais s’étonner quand on a en face de soi un homme qu’on ne va pas nommer aujourd’hui et qui a pratiqué l’homosexualité passive à l’Assemblée fédérale, à l’époque de la «gendrocratie» de Saïd Mohamed Djohar, dans l’unique but d’être coopté par les dirigeants de cette période troublée. Quelle vie!
Aujourd’hui, où en sont les Comores? Dans le fond d’un trou à rats. Les Comores n’ont jamais été dans un tel désespoir. Les Comoriens n’ont jamais déployé autant de moyens pour demander à Dieu la mort de leur usurpateur-dictateur. C’est pendant que les Comoriens sont dans un désespoir total que le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani a décidé de traiter les Mohéliens et les Anjouanais plus bas que terre. Ce fonctionnaire anjouanais basé à Moroni est on ne peut plus explicite: «Azali Assoumani est un péquenot ignorant. Il affiche une sorte de complexe de supériorité pour cacher son complexe d’infériorité. Il se sent inférieur aux autres et fait tout pour se donner des airs supérieurs. Son arrogance est insupportable. À tous points de vue, Ikililou Dhoinine, qui était un nul de chez les nuls, valait mieux que lui».
Un Mohélien également affecté à Moroni renchérit: «Soilihi Mohamed de Djoiezi, sur l’île de Mohéli, est mort en juillet 2016, à la fin du mois de Ramadan. Depuis son enterrement, Azali Assoumani n’a pas été vu à Mohéli, une île qui lui a offert le pouvoir de manière anticonstitutionnelle et contre laquelle il agit aujourd’hui. Il n’y a pas un seul Mohélien qui ne regrette pas la présence de cet homme à la Présidence de la République. Maintenant, les fonctionnaires de la Grande-Comore sont payés un mois avant ceux de Mohéli et d’Anjouan.
Dans les instances de l’Union, il n’y a plus de Mohéliens et d’Anjouanais. Sais-tu comment on appelle la prison de Moroni? On l’appelle “le QG des Mohéliens”, et il s’agit de Mohéliens qui n’ont été reconnus coupables par aucun juge. Pour preuve, qui est le juge qui a prononcé une peine de prison contre le Docteur Ahmed Mohamed Djaza, Président de la Commission électorale nationale indépendante? Ce juge n’existe pas, et on assiste à un crime de mohélité. Tous les Mohéliens travaillant à Moroni ont été virés et chassés de leurs logements de fonction. Azali Assoumani dit que les Mohéliens ne veulent pas admettre qu’ils ont fait leur temps. Alors, les Mohéliens ont-ils cessé d’être des Comoriens?
S’il y avait une Justice aux Comores, Azali Assoumani aurait commencé par se faire juger lui-même pour les 20 milliards de francs comoriens qu’il a volés au peuple comorien de 1999 à 2006, et il aurait fallu que les juges entendent Ahmed Sambi sur l’accusation portée sur lui par la Canadienne, auteure du livre sur la vente des passeports comoriens, et qui dit que cet homme a détourné plus de 350 millions de dollars, soit 162 milliards de francs comoriens».
Seulement, les choses sont allées très loin parce que Mohéli et Anjouan veulent renouer avec leur séparatisme bien-aimé. Et pourquoi ne le feraient-ils pas à un moment où ils sont traités comme des Comoriens de seconde zone? Naturellement, les Mohéliens n’ont pas volé les malheurs qui leur tombent sur la tête, mais tout de même. Contrairement à une rumeur sans fondements, le «saigneur» Azali Assoumani n’a pas été élu à Mohéli, tout comme il n’avait obtenu la majorité ni à la Grande-Comore, ni à Anjouan. Il a été intronisé frauduleusement par des Mohéliens, mais seulement par les seuls Mohéliens de Beït-Salam, une poignée de voyous passés du cocotier à la Cadillac. Aujourd’hui, c’est toute une île qui paye les crimes d’une poignée de criminels haineux et irresponsables. En même temps, les Mohéliens n’ont personne vers qui se tourner pour pleurer et essuyer leurs larmes puisqu’ils n’ont ni Gouverneur sur leur île, ni Vice-président originaire de celle-ci.
En même temps, les Anjouanais ne se portent guère mieux, avec un péteux à la place du Gouverneur. La crise séparatiste en cours de préparation n’éclatera pas forcément en premier lieu d’Anjouan, puisque, en matière de colère, les Mohéliens ont une longueur d’avance sur les Anjouanais, pourtant prêts à faire parler la poudre. Anjouanais et Mohéliens savent que Mitsoudjé, le village natal de l’usurpateur Azali Assoumani, a reçu plus de nominations que leurs deux îles réunies. Cela ne leur plaît pas. Oui, Anjouanais et Mohéliens ont parfaitement compris que le but poursuivi par le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani est de faire imploser l’Union des Comores. Ils veulent juste l’aider à ranger ce pays dans le Musée des Antiquités. Folie pour folie. Cette fois-ci, le «saigneur» Azali Assoumani va trouver devant lui des gens plus déterminés que lui pour faire imploser les Comores. Et, il arrivera ce que le fou furieux maudit de Beït-Salam veut qu’il arrive aux Comores.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 1er décembre 2016.
One Comment
mdjassiri
décembre 2, 2016 at 10:57Si j’ai bien compris, les partenaires de cette homosexualité à l’Assemblée Fédérale à l’époque de la gendrocratie, c’est LE GENDRE dans le rôle du mfiradji et dans le rôle de la femelle le type là qui était son collaborateur mais que je ne nomme pas mais que tout le monde connait en lisant bien ton texte. Il s’est exilé actuellement