Azali Assoumani et Hamada Madi Boléro: des impies!
Leur relation est basée sur leur profond mépris envers Dieu
Par ARM
Vrai orientaliste, très différent des charlatans qu’on voit souvent à la télévision pour débiter des bêtises sur l’Islam, Maxime Rodinson (1915-2004) a énoncé la vérité suivante: «Gouvernement islamique en soi ne veut rien dire. On peut déclarer islamique l’État qu’on dirige moyennant quelques conditions minimales aisées à remplir: proclamer la fidélité à l’Islam dans les textes constitutionnels, mettre ou remettre en vigueur légalement quelques mesures archaïques spectaculaires, se concilier – facilement (chez les Sunnites) ou avec plus de difficultés éventuellement (en pays chiite) – le corps des Uléma. Mais en dehors de ce minimum, le champ est vaste. On peut avoir affaire à des régimes différents et même diamétralement opposés. Ils peuvent s’accuser mutuellement de trahir le “vrai” Islam. Rien n’est plus facile ni plus dangereux que de manier l’accusation ancestrale: l’adversaire est un “ennemi de Dieu” (adou Allah). Ces anathèmes mutuels, incorporés souvent dans les fatwa (consultations) contradictoires des autorités complaisantes, ne sont pas non plus de nature à renforcer la confiance en la vertu de l’islamité proclamée d’un État»: Maxime Rodinson: Réveil de l’intégrisme musulman? in Paul Balta: L’Islam dans le monde, 2ème édition, Le Monde Éditions, Paris, 1991, pp. 49-50.
Donc, il n’est pas besoin de dire que tel est un «ennemi de Dieu», mais de juger les choses de la manière la plus objective. Commençons par la lecture de ces versets coraniques:
«Allah a scellé leurs cœurs et leurs oreilles; et un voile épais leur couvre la vue; et pour eux il y aura un grand châtiment. Parmi les gens, il y a ceux qui disent: “Nous croyons en Allah et au Jour dernier!” tandis qu’en fait, ils n’y croient pas. Ils cherchent à tromper Allah et les croyants; mais ils ne trompent qu’eux-mêmes, et ils ne s’en rendent pas compte. Il y a dans leurs cœurs une maladie (de doute et d’hypocrisie), et Allah laisse croître leur maladie. Ils auront un châtiment douloureux, à cause de ce qu’ils mentaient. Et quand on leur dit: “Ne semez pas la corruption sur la terre”, ils disent: “Au contraire nous ne sommes que des réformateurs!” Certes, ce sont eux les véritables corrupteurs, mais ils ne s’en rendent pas compte».
(II, La Vache, 7-12).
Ce que dit le Coran est donc d’une très grande clarté. Maintenant, nous allons nous référer à une parole blasphématoire et très malheureuse du «saigneur» Azali Assoumani quand il était le chef de la junte militaire (1999-2006) avant de devenir celui de la deuxième junte mafieuse: «Hata Mgnezi Moungou Yadjodo houkoumou ye ma Chinois piya nowa Marekani ata Yani Washuili, yiho houlé»: «Le temps que Dieu juge tous les Chinois et les Américains avant d’arriver à moi, cela va prendre beaucoup de temps». Le jour où il a tenu ces propos malheureux, les plus lucides et les plus sérieux des Comoriens ont compris que leur pays était dirigé par un impie méprisant Dieu. Et il n’y a pas que cela. Seul son ami le Mufti se fait des illusions sur sa créature, dont il a vendu la «religiosité» et la «ferveur religieuse» à un Ikililou Dhoinine qui avait décidé depuis longtemps de lui céder le pouvoir le jeudi 26 mai 2016.
En même temps, on se rend compte qu’en matière d’athéisme, cet homme foncièrement impie n’est pas seul dans sa confrérie de voleurs impies. Il y a également son fugitif international Hamada Madi Boléro, bien imprégné dans une atmosphère religieuse dans son enfance jusqu’au jour où, alors en classe de 6ème (en 1977-1978), il a vaguement entendu parler sans vraiment comprendre de vagues extraits des œuvres de Vladimir Oulianov Lénine, Friedrich Engels et Karl Marx, jugeant que son statut de «marxiste-léniniste» l’obligeait à devenir athée. Il aura entre ses mains et pour la première fois Le Capital de Karl Marx en 1985, quand tel Djoiezien revenait d’une formation en Génie civil en France. Or, depuis 1977, il mange en pleine journée pendant le ramadan, avec une stupidité effrayante: il consommait à midi la nourriture de l’aube, et parfois il n’avait même pas un repas avec de la viande de rat dessus. Grand fumeur de Gauloises à l’époque, il devait allumer les spirales de lutte contre les moustiques pour camoufler la forte odeur du tabac noir. Et de 1977 à 2016, le fugitif Hamada Madi Boléro n’a jamais jeûné. Cela est dit la main droite posée sur le Coran. Quant à la prière, il lui suffit de gratter jusqu’au sang son front sur le tapis pour faire bonne impression devant les autorités du Sultanat d’Oman quand il allait leur voler leurs pétrodollars pour le prétendu projet de mise en place de l’unité des garde-côtes.
Regardez tout le mal que ces deux individus ont introduit aux Comores: pornographie (le fugitif international Hamada Madi Boléro est le producteur des premiers films pornographiques comoriens), pédophilie sur ses propres élèves (le fugitif international sans île d’attache se qualifie lui-même de pédophilie dans son livre électronique), fausse monnaie, vol massif d’argent public (même si du jour au lendemain, le fugitif international se mit à voler même les tables basses de l’administration, à faire des trafics de visas, dont certains demandeurs malheureux exigent encore la restitution de leur argent), la débauche de sexe (sous Ikililou Dhoinine, en pleine nuit, le fugitif international reçut dans son bureau la visite d’un ambassadeur en poste à Moroni, qui remarqua des capotes ou préservatifs traînant par terre, pendant que «la secrétaire» devant son ordinateur posé à l’envers, avait les yeux baignant dans le sperme. Le lendemain, on sut de qui il s’agissait grâce à la page Facebook sur l’écran de l’ordinateur), une débauche ayant permis à nombre de gamines d’avoir la mesure exacte et concordante des zizis des acteurs des orgies sexuelles, etc. Ces mesures anatomiques sont connues des initiés après avoir été communiquées par des gamines…
Alors que Dieu recommande la modestie aux hommes, comme par hasard, il se trouve que les deux hommes les plus présomptueux, les plus arrogants et les plus narcissiques des Comores sont le «saigneur» Azali Assoumani et le fugitif international Hamada Madi Boléro. Ils sont détruits par la plus indécente des corruptions, la plus criminelle des incompétences, la plus immorale des débauches sexuelles et financières, et ceux qui seront vivants au moment de leur mort, leur construiront des pyramides pour les enterrer avec tous leurs biens mal acquis. Mais, avant de les enterrer, il faudra lire le verset coranique suivant:
«Les biens et les enfants sont l’ornement de la vie de ce monde. Cependant, les bonnes œuvres qui persistent ont auprès de ton Seigneur une meilleure récompense et [suscitent] une belle espérance».
(XVIII, La Caverne, 46).
Donc les Comoriens s’en remettent à Dieu. Et attendent Son jugement.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 26 octobre 2016.
2 Comments
mgomri
octobre 26, 2016 at 4:42C’est vrai cette histoire de poulet que le fugitif international avait volé à Fouad Mohadji en URSS ?
Momo
octobre 28, 2016 at 7:52Yizo kweli ,bolero hakahahibi yemnankouhou wa fouadi ho frigo,,pvanou kamtsoudjouwa bolero , wala kamtsoudjouwa azali,wadrou wanou wowayili wetsangagnoi yapvo ye comores yiriki.les deux foment cHonga yipasi et chonga yirahafou ,kowahayiri yapvo ,