Azali Assoumani, chassé de l’hôtel, Kiki prend la fuite
À Paris, la honte et l’opprobre sur l’usurpateur de Beït-Salam
Par ARM
Les youyous les plus bruyants des femmes comoriennes de la Courneuve, Sarcelles, Saint-Denis et Aubervilliers ont retenti. Même les touristes qui étaient au sommet de la Tour Eiffel et du Mont-Blanc ont entendu ces youyous flamboyants. Après enquête, il s’avéra que ces youyous sont lancés pour célébrer la honte et l’opprobre qui frappent en ce moment même le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani à Neuilly-sur-Seine, près de Paris. Mais, qu’est-ce qui se passe encore? Eh bien, la situation est très grave, voire désespérée. Le dictateur inculte et analphabète de Moroni a été chassé de l’hôtel. Oui, le dictateur inculte et analphabète Azali Assoumani et sa bande de maquignons ont été virés sec de l’hôtel où ils s’étaient installés à Neuilly-Sur-Seine. Virés comme les voleurs qu’ils sont. Chassés. «Allez, ouste!». C’est que ces bandits avaient loué leurs suites et chambres pour deux jours, et voulaient y rester une semaine. Au troisième jour, la Direction de l’hôtel les a chassés comme des malpropres, comme les malpropres qu’ils sont. Ils avaient cru qu’un hôtel de Neuilly-sur-Seine, l’endroit le plus sélect de France, était un bouiboui ou une gargote de Moroni. Ils se sont lourdement trompés, et quand ils ont trouvé leurs slips déchirés dans les couloirs de l’hôtel, Kiki a vu rouge, a pris ses strings et a pris la fuite dans une colère indescriptible. Avant de fuir, il tempêtait comme un charretier après la traversée du désert Mohave: «Comment peut-on nous faire subir une telle honte à l’étranger? Quel scandale! Si la chose se sait, nous sommes tous morts. Faisons tout pour que la nouvelle n’arrive pas aux oreilles des blogueurs hostiles».
Monsieur Kiki, «les blogueurs hostiles» sont déjà au courant de la nouvelle honte qui frappe l’usurpation et le seront chaque fois que l’opprobre frappera votre bande de voleurs et de ploucs. Et ce régime politique de la honte sera frappé d’opprobre jusqu’au jour où Dieu va le mettre hors d’état de nuire. Le criminel électoral et économique Azali Assoumani est frappé de honte du premier jour au dernier jour de sa présidence criminelle et illégitime. Chaque geste qu’il fera sera marqué du sceau de la honte.
D’ailleurs, ce vendredi 7 octobre 2016, il est parti faire la prière à la mosquée parisienne de Place Monge mais les personnalités du Hamahamet en général et du Mbéni en particulier qui ont l’habitude d’y prier vendredi avaient préféré aller prier ailleurs, pour ne pas se retrouver aux côtés d’un homme dont les mains sont rouges du sang de l’officier Ahmed Abdallah dit Apache et de bien d’autres. À la mosquée de Plage Monge, le bon Salim Hassan, dans sa volonté de bien faire, a organisé une rencontre clandestine entre le chassé de l’hôtel et quelques Comoriens. Et là, toute honte bue, on entendit le dictateur radoter, en disant qu’il lui manquait 200 euros pour des formalités sur son billet de retour aux Comores. De nouveau, les Comoriens sont très en colère. Les réseaux sociaux et antisociaux sont à feu et à sang…
En tout cas, le dictateur de Beït-Salam s’est retrouvé dans une mosquée sans Comoriens. Le bannissement du dictateur sera complet quand le peuple se réveillera à Moroni et l’y bannira. Mais, comme tout est question de temps, ça viendra.
En tout cas, dès son retour à Moroni, le dictateur comorien devra gérer l’immense scandale provoqué par son ministre qui fait cric-crac avec la femme du Directeur de son Cabinet, un scandale qui plonge le Tout-Moroni en émoi. En avant la musique…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 7 octobre 2016.