Après Bahassane Blablas, l’autre frère encombrant
Fratrie des beaufs de la bobocratie de la «Ripoux-blique»
Par ARM
Vous pouvez le leur demander, ils vous le confirmeront: les Comoriens en ont vraiment marre de Bahassane Blablas, le frère voyou de Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Au secours! Au secours!). Or, du jour au lendemain, ils découvrent qu’ils ont un autre frère encombrant du voyou lubrique et libidineux du ministère de l’Économie à gérer et à supporter. L’autre frère criminalisé et versé dans la voyoucratie bobocratique a un nom et un visage. Il s’appelle Monsieur Frère Moustoifa Ahmed Saïd Hassani (Ouf! Ouf!). En plus d’être un voyou notoire, il s’est engagé dans la plus hasardeuse des voies. Il se prend pour un homme intelligent et intéressant. Il a tort. Il a horriblement tort.
Qu’on s’en rende compte! Des travaux de Comores Télécom, la vache à lait de la sangsue Ambari Darouèche et de sa dangereuse rivale qu’est la pompe à sous Marie Mayobe, travaux relatifs au câble sous-marin, devaient avoir lieu sur la plage d’Itsandra, qui n’est la propriété de personne, mais un domaine public. Cependant, le beauf Moustoipha Ahmed Saïd Hassani (Au feu! Au feu!), frère de Djaafar Ahmed Saïd Hassani (À l’aide! À l’aide), s’en oppose farouchement, alors que ce câble sous-marin ne représente aucun danger et que cette plage n’est pas le champ de patates de son oncle maternel.
Le frère et beauf Moustoipha Ahmed Saïd Hassani (Par pitié! Par pitié!) est à la tête d’une association de jeunes appelée Toimaya, qui présente toutes les caractéristiques d’une association de malfaiteurs, suite à l’usage personnel qu’il en fait. Il a toujours utilisé cette association à des fins politiciennes et criminelles. Sa seule qualité reconnue, c’est d’être le mari de sa femme et d’avoir donc réalisé une «réussite sociale», c’est-à-dire un mariage avec une femme blanche.
La famille de Djaanfar Ahmed Saïd Hassani (Allons bon…) est en guerre ouverte contre le gouvernement de leur beauf, le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», l’époux presque clandestin de la frangine Moinourou (Photo, aux côtés avant le mariage). Une affaire de famille, donc. C’est la manière décrétée par le grand frère Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Alerte! Alerte!), marginalisé et méprisé par son beauf, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, et son neveu maudit, Hamadi Idarousse dit «Tonton-m’a-dit».
À propos de Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Ouf! Ouf!), les Comoriens sont consternés en constatant qu’il a effectué un voyage express à Paris dont personne ne connaît les raisons et les motivations, dans la mesure où il n’en a pas. Il est à Paris pour faire quoi? Un membre de son Cabinet ne se cache pas et signale que tout le monde est agacé par son comportement de chefaillon qui ne pense qu’à l’argent et aux jeunes filles de 18 ans, comme quand il sévissait au Tribunal de Moroni. Il se pavane sur les médias pour annoncer des projets qu’il ne maîtrise même pas. Ce sont les partenaires des Comores qui font tout le travail, qu’il s’approprie sans en comprendre les tenants et aboutissants. C’est un terrible et horrible cancre, même d’après les magistrats de Moroni, qui ne sont pas nécessairement les meilleurs fils qu’ont eus les Comores. Ses collaborateurs sont vraiment agacés.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 2 mars 2018.