Idaroussi H., de «Tonton-m’a-dit», à «J’ai-dit-à-Tonton»
Azali offre l’argent liquide du peuple à son vil voleur de neveu
Par ARM
Les beaufs et les naïfs avaient claironné par imprudence et par méconnaissance des ressorts internes de la «Ripoux-bliquette» de Mitsoudjé en prétendant que le jeu de chaises musicales ayant conduit au départ d’Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit» de son secrétariat général du gouvernement (SGG) était une sanction contre le neveu le plus malfaisant de toute l’Histoire de l’humanité. Votre site préféré avait expliqué que cette façon de présenter les choses était à la fois simpliste, erronée, imprudente et infondée car Monsieur Neveu, l’épicentre des séismes de la dictature familiale et villageoise de Mitsoudjé, allait hériter de son dictateur de Tonton la Direction générale de la Société comorienne des Hydrocarbures (SCH), une des vaches à lait de la dictature de Mitsoudjé. Monsieur Tonton a nommé Monsieur Neveu Directeur général de la SCH. Les prétendues Comores sont devenues une simple basse-cour des Azali Boinaheri à Mitsoudjé.
Dès lors, le voleur notoire Idaroussi Hamadi n’est plus surnommé «Tonton-m’a-dit», mais «J’ai-dit-à-Tonton»: c’est lui qui donne les ordres. Même si «J’ai-dit-à-Tonton» était nommé femme de ménage dans la dictature de sa famille, il resterait un grand voleur. Comme diraient les Mohéliens, «que le voleur Idaroussi Hamadi soit au SGG, c’est Hassan, qu’il soit à la SCH, c’est Hussein». Les Marocains diraient que «c’est Hadj Moussa et Moussa Hadj».
Un voleur vole même quand il est accroché à un serpent en haute mer pour éviter une noyade imminente. C’est un singulier destin qui a conduit «J’ai-dit-à-Tonton» à des études supérieures (au Maroc) de filtrage des eaux sales pour éliminer les moustiques à la tête d’une «Républiquette» de hameau. Déjà, sous la première kleptocratie de Tonton (30 avril 1999 – 6 mai 2006), Monsieur Neveu Idaroussi Hamadi avait tellement volé d’argent public et de matériel au ministère de l’Agriculture, où il filtrait les moustiques, qu’il s’était retrouvé en prison au lendemain du 6 mai 2006. Le faussaire international, mondial et universel Ibrahim Ali Mzimba, son «avocat», lui avait conseillé un faux témoignage en sa faveur, gentiment et généreusement fourni par son pote Bellou Magochi, qu’il fera nommer par la suite «Directeur du Cabinet de Tonton en charge de la Défense», puis «Délégué à la Défense».
Et il y a le cas Saïd Ali Saïd Chayhane. Sa Madame, qui avait été la secrétaire personnelle du fuyard en slip Assoumani Azali Boinaheri à l’époque où il était «chef d’État-major» en fuite en slip, et qui lui a donné un gentil bébé, avant d’être refilée à ce Saïd Ali Saïd Chayhane pour donner le sein et le biberon à bébé gentil, est la nouvelle préférée de la «Ripoux-bliquette» de Mitsoudjé. Comme son Saïd Ali Saïd Chayhane est chassé du ministère des Finances, la préférée de la «Ripoux-bliquette» a bravé la dictatrice Ambari Darouèche et a imposé le baby-sitter à la tête de l’autre vache à lait: Comores Télécom. Cherchez l’erreur…
Ce faisant, le caractère familial de la «Ripoux-bliquette» de Mitsoudjé a été aggravé, juste au moment où l’Union africaine, versant des larmes de crocodile, est aux Comores pour soutenir son dictateur Assoumani Azali Boinaheri, qui offre l’argent du peuple comorien à des dictateurs nilotiques en échange de leur soutien diplomatique au sein du club des dictateurs qu’est cette Union africaine discréditée, qui n’unit personne en dehors des dictateurs.
Pauvres Comores d’un dictateur ignare et de sa famille de voleurs! Pauvre Afrique de dictateurs sauvages avec leurs familles prédatrices. Six décennies d’une indépendance factice pour reculer et pour massacrer et paupériser des millions d’Africains!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 16 septembre 2021
