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Le gouvernement de transition ou des fautes de français?

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Le gouvernement de transition ou des fautes de français?

Mendicité, bouffissure, condoléances, escroquerie et racisme

Par ARM

       La vérité nous oblige à reconnaître que Saïd Larifou et sa bande de fous furieux suscitent le même rejet que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Les Comoriens les détestent à mort depuis qu’ils ont compris que ces fous furieux leur ont volé leur combat légitime et tué tout espoir de retour immédiat à la Constitution et à l’accalmie aux Comores. Saïd Larifou, ministre «des tas» aux Affaires étrangères, chargé des condoléances internationales, des fautes de français, du panafricanisme de mendicité et des bêtises, suscite le rejet, la haine, la détestation, et a tué l’espoir chez les Comoriens. Même dans un «gouvernement» absolument bidon, il étale son racisme insulaire. Il ne peut pas s’empêcher de se comporter en Grand-Comorien raciste, haïssant, détestant et méprisant les habitants des autres îles. Il ne donne à aucun Comorien l’envie de lui serrer la main. Il guette la mort des personnalités étrangères pour s’empresser d’aller présenter des «condoléances» dont ne veut personne.

Il a même nommé des «avocats des Comores». Ce nouveau dérapage énerve tous les Comoriens. Et pourquoi les Comoriens ne s’énerveraient-ils pas quand ils savent que l’un de ses «avocats» est un drôle de zèbre? Oui, oui. Cet «avocat» est un escroc international. On le voit dans des capitales européennes en train de voler la veuve et escroquer l’orpheline. Il est mauvais comme la teigne. Il est spécialisé dans le vol de l’argent des associations de défense des droits de l’Homme. Il ne lui avait fallu que 10 secondes pour voler, avec la bénédiction et la complicité de «L’Art-Fou», 16.000 euros (8 millions de francs comoriens) qui avaient été collectés lors d’un Madjliss de Comoriens à Marseille. Il a profité d’une conférence bidon à Genève, Suisse, pour faire disparaître cet argent.

Pour rappel, lors de cette conférence bidon, des dizaines de Comoriens avaient effectué le voyage de Genève. Les fous furieux de «L’Art-Fou» avaient même essayé de voler 50.000 euros (25 millions de francs comoriens) à la famille de l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Ils avaient agité comme prétexte de filous la prétendue «défense du dossier judiciaire» de ce dernier. Sale, très sale. Plus sale encore, dans cette magouille, on retrouvait deux agitateurs illuminés de Mutsamudu qui, toute honte bue, se disent encore «très proches familialement et politiquement» de l’ancien Président. Oui, c’est très sale.

Et comme si cela ne suffisait pas, le texte le plus truffé de fautes de français des origines de l’humanité à ce jour a été publié pour signaler que Kamal Abdallah Salim, originaire de Moroni, en Grande-Comore (mais, si!) est nommé «Directeur de Cabinet chargé de la Défense à la Présidence de l’Union des Comores auprès de Son Excellence Monsieur Moustoifa Saïd Cheikh Al Idarous», tonton Moustoifa. On apprend ainsi que «le nouveau Directeur de Cabinet est un homme d’expérience connu, apprécié et respecté de toutes et de toutes». Ah bon? Il s’agit de quelle «expérience», et depuis quand Kamal Abdallah Salim serait «connu, apprécié et respecté de toutes et de toutes»? Ces «toutes et tous», c’est qui? Qu’on nous le dise ouvertement pour que la chose soit claire dans les esprits! Qui le connaît? Qui l’apprécie? Qui le respecte? C’est fou!

Et voilà que l’intéressé se présente lui-même comme «homme de plume il est aussi rompu dans l’art de la communication». En apprenant cela, on est obligé de plonger dans un génocide du rire. Kamal Abdallah Salim exagère. Il a écrit quoi pour s’autoproclamer «homme de plume»? A-t-il poussé des plumes d’oiseau? Il est devenu plumé? Est-il devenu un oiseau? Et, depuis quand est-il diplômé de «l’école du soilihisme» (Ali Soilihi)?

Aujourd’hui, une chose est sûre. Il ne faudra pas destituer le dictateur Assoumani Azali Boinaheri sans donner la fessée au malade mental Saïd Larifou. On ne peut pas débarrasser le pays d’un mal et laisser derrière une grande plaie béante. Saïd Larifou est la plaie. Il est très difficile d’apprécier Saïd Larifou et sa bande de roquets. Ils sont mauvais et antipathiques.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 30 juin 2021.


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