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Saïd Larifou, Cardinal de Mopti, catéchiste au Mali

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Saïd Larifou, Cardinal de Mopti, catéchiste au Mali

Le nouveau document de l’opposition l’enterre vivant

Par ARM

       Avec le regretté René Dumont, l’irremplaçable Pierre Péan (1938-2019) est l’un de mes écrivains préférés. Il a été l’auteur de cette belle phrase, qu’ignore malheureusement Saïd Larifou: «Au-delà de certaines bornes, le ridicule ne tue plus… il conserve»: Pierre Péan: L’argent noir. Corruption et sous-développement, Fayard, Paris, 1988, p. 203.

Saïd Larifou est dans une posture politique ridicule. Il nage dans le ridicule politique. Alors qu’il n’a aucune crédibilité aux Comores, il s’est converti au Catholicisme (après avoir été Témoin de Jéhovah), et fait du catéchisme à Mopti, au Mali, prétendument au nom de son nouveau dada: le panafricanisme à la noix de coco. Après avoir passé la première partie de sa vie à changer d’orientations politiques, il passe la seconde à changer de religions. Le Pape François pourra le nommer Cardinal de Moroni, après avoir été Cardinal de Mopti. Il sera le premier Cardinal comorien. Amen!

       Les simagrées de sa Bande des 4 + 1 ont poussé ce futur Président des Comores à adresser ce message à votre site préféré: «La Bande des 4 + 1 va s’étrangler et se faire enterrer vivante après la publication du document signé par Chaher Ben Saïd Massounde et Ahmed Hassane El Barwane pour la vraie opposition. Le fantomatique Saïd Larifou va s’enfoncer dans un panafricanisme qui lui rapporte de l’argent et des billets d’avion, un panafricanisme qu’il croit pouvoir redéfinir. Ali Mhadji est reparti en Tanzanie en se prenant pour une réincarnation d’Ali Soilihi. Tocha Djohar Abdallah va prétendre remplacer Msafoumou dans l’Itsandra, alors que son ancien allié et compagnon de route est Maître Fahmi Saïd Ibrahim, dont le grand-père, le Sultan Saïd Ali, avait contenu tout autre prétendant au trône du Sultan Ntibé des 7 Ngazidja ou Grande-Comore. Pendant ce temps, Kamal Abdallah Salim, le grand penseur, inspirateur et concepteur de la mort-née “Révolution Ylang-ylangˮ (quelle connerie!) se pavane à Nice, sur le Boulevard des Anglais, en pleine Cote d’Azur, en attendant que le coronavirus veuille bien lui permettre de s’approcher d’une starlette pour une autographe».

Voilà où nous en sommes.

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Mardi 22 septembre 2020.


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