Mourant, Azali Assoumani insulte la France
Kiki et Djaanfar Saïd Ahmed l’ont déjà enterré
Par ARM
Depuis quelques jours, les Comoriens cherchent à connaître les raisons qui ont conduit le voyageur intergalactique Azali Assoumani à se précipiter aux Comores alors qu’il était pour de nombreux jours à l’étranger. Sur le sujet, il y a eu des supputations, conjectures, rumeurs de bouchères et bruits de chiottes, mais la vérité n’avait pas été tout de suite percée. Pourtant, elle vaut d’être connue des Comoriens. La voici: alors qu’il était à l’étranger, l’usurpateur comorien a été interpellé par une superpuissance occidentale sur les saletés et immondices de son beau-frère Djaanfar Ahmed Saïd Hassani (Au feu!), frère de sa deuxième femme, Moi-Nourou, et Kiki sur le trabendo par milliers de passeports comoriens au Moyen-Orient. C’est devenu très sale. La chose est très sale. Les grandes puissances n’en peuvent plus. Les grandes puissances n’en veulent plus. Ce sont des milliers et des milliers de passeports que ces deux trous du cul vendent au Moyen-Orient en dehors de tout contrôle national ou international.
En la matière, le frère Abdallah Agwa a attiré l’attention des Comoriens en disant que Kiki était en train de commettre les pires saletés en la matière, en plus du trabendo de visas Schengen. Ce qu’il n’a pas dit, c’est qu’il se livre à cet immonde trabendo avec la complicité du beauf Djaanfar Ahmed Saïd Hassani (Au secours!), qui profite de son statut de beauf pour se livrer aux magouilles qui ont déjà fait sa sinistre réputation de pédophile depuis qu’il sévissait au Tribunal de Moroni, à la grande honte de tous les vrais juristes que comptent les Comores.
Le rappel à l’ordre du dictateur Azali Assoumani par la superpuissance occidentale tombe au mauvais moment, juste après la profération d’injures envers la France par le même tyran des Comores. Et s’il comptait sur Bellou, supposé être son premier collaborateur, pour le protéger, il en sera à ses frais puisque c’est ce garçon qui a divulgué les graves insultes de son chef envers la France. Et, ce n’est guère fini parce que les vols d’argent public par des gens du pouvoir ont empêché leur chef, mourant, de continuer ses déplacements pour se faire soigner à l’île Maurice; d’où un retour précipité à Port-Louis, pour ne pas mourir avant Ambari qui, elle aussi, est vraiment mal en point. Très mal en point. Il lui arrive de ne même pas pouvoir marcher, et les langues de vipères s’interrogent pour savoir qui va enterrer l’autre.
Soyons bonnes filles. Ne soyons pas chiens. Pendant que le dictateur Azali Assoumani est en train de mourir, nous n’allons pas l’achever. Les siens s’en chargent très bien: son beauf et «ministre de l’Économie», son «ministre de l’Intérieur» et le Directeur de son Cabinet. Il ne reste qu’à lui présenter des félicitations pour le choix lumineux de sa lumineuse équipe.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 4 avril 2017.