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Le criquet-pèlerin Saïd Ahmed Saïd Ali, gaga de la tête

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Le criquet-pèlerin Saïd Ahmed Saïd Ali, gaga de la tête

Le bougre de Ntsoudjini a inventé le pèlerinage-Facebook

Par ARM

      L’appel téléphonique est venu de Moroni et s’est résumé à ceci: «Écoute, je n’ai pas assez de crédit. Jette un coup d’œil à ta messagerie électronique. Je t’ai envoyé les dernières photos de ton beau gosse de Ntsoudjini en plein tourisme en Arabie. Maintenant, nous lui avons trouvé les deux surnoms qui correspondent le mieux à son caractère d’hâbleur: “Mbouré” et “Mrouvou”. Il y a un texte explicatif sur la chose et le personnage». «Mbouré» signifie «Celui qui ne sert à rien», donc «l’inutile». Quant à «Mrouvou», on peut le traduire par «l’Homme Néant», «L’Homme vide». Soyons sérieux! La fille de Moroni sait que les gens sérieux ne vont jamais sur la page Facebook d’un Saïd Ahmed Saïd Ali ou d’un Mohamed Abdou Mbechezi, des petits griots au petit pied transformés en paparazzi, qui croient que quand on ne peut pas exister par des choses utiles, on existe par des images de gamins capricieux. Et les deux lascars publient photo sur photo sur eux, sans rien apporter au débat public.

Justement, l’ancien ministre Dini Nassur a sévèrement critiqué le charlatanisme et la superstition du «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri et de son Mufti défroqué au sujet du pervertissement du calendrier de la célébration de la Fête marquant la fête du pèlerinage en Arabie Saoudite. Voici son texte: «Affaire de la fête de l’aïd Elkabir: Ce charlatan qui nous dirige. Ce vendredi 1er septembre, le monde musulman célèbre la fête de l’aïd Elkabir 2017, conformément au calendrier lunaire. Chez nous aux Comores, plusieurs localités ont vu l’armée venir interdire la prière par respect à une certaine superstition “prédisant” le décès du chef de l’État en cas de simultanéité de deux grandes prières. La forfanterie de Monsieur Azali Assoumani nous importe peu vu notre attachement à la liberté de croyance. Qu’il panique face à la superstition, c’est son problème. Mais cela devient notre problème quand le Chef de l’État fait usage de notre armée, de nos institutions et de notre foi pour imposer son charlatanisme démesuré. S’il lui reste une once de foi, qu’il présente ses excuses à la nation à défaut d’avoir le courage de proposer sa démission».

      Or, oubliant qu’il est censé être en pèlerinage, et ignorant l’état de pureté et d’abandon total à Dieu dans lequel doit être le pèlerin, qui doit se consacrer au 5ème pilier de l’Islam en laissant tout derrière lui, Saïd Ahmed Saïd Ali, le beau gosse de Ntsoudjini, a passé tout son temps «de pèlerinage» devant son ordinateur pour écrire des âneries sur Facebook. C’est une première mondiale. Avec cette attitude, «l’homme inutile» de Ntsoudjini est capable de sodomiser une chèvre et un âne rouge en plein pèlerinage, s’il ne l’a pas déjà fait. Surveillez ce garçon. Il ne va pas en tourisme sous le couvert du pèlerinage pour répondre à Dini Nassur et à tous les Comoriens qui expriment leur indignation face à la manipulation du calendrier de la célébration de la Fête du Sacrifice, mais pour tenter de se racheter auprès de Dieu après tous ses vols d’argent public et après avoir volé des gens d’Oussivo à qui il a pris 7,5 millions de francs comoriens sans leur faire délivrer les visas Schengen promis.

Vantard comme un pou, «l’Homme Néant» de Ntsoudjini a, paraît-il, rempli sa page Facebook d’horribles photos sur son passage en Arabie Saoudite. Ici, avec son parasol blanc, il a tout à fait l’air d’une tantouze de l’époque victorienne. Là, aux côtés d’un dignitaire saoudien, il ressemble à une tarlouse de la Prohibition aux États-Unis. Les Comoriens qui ont vu ses horribles images de tante ont été révulsés, choqués et scandalisés, ne comprenant pas la bassesse pouvant conduire un homme considéré comme sain de corps et d’esprit à se livrer à des actes de tarlouse et de tantouse à La Mecque.

      La tante de Ntsoudjini a choisi de se livrer à un exercice périlleux: la défense d’une mauvaise cause et de la plus horrible des façons. Son maître, le «saigneur» Azali Assoumani Boinaheri et son tonton le Mufti défroqué de Ntsoudjini comme lui ont commis un acte d’une grande gravité en battant et en emprisonnant les gens pour avoir seulement célébré l’Aïd Al-Kabir le même jour que les autres Musulmans du monde. Ces gens qui se conduisent en vrais chacals vont porter leur nouveau forfait sur le front durant toute leur vie de bandits de grands chemins, en attendant le jour où ils devront s’expliquer devant Dieu. Ce jour de Jugement Dernier, chaque membre de cette bande de pécheurs fuira l’autre, en lui lançant: «C’est à cause de toi que je suis en Enfer aujourd’hui». Même si le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri crâne aujourd’hui en blasphémant, puisqu’il a l’habitude de dire que Dieu aura fort à faire entre les milliards de Chinois, d’Indiens et d’États-Uniens avant d’arriver à lui pour le juger, le face-à-face final finira par avoir lieu, et les milliards d’hommes qu’il évoque seront jugés en quelques instants, le propulsant devant le Créateur.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 3 septembre 2017.


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