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Ahmed Ali Amir fait pschitt et un bruit d’évier se vidant

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Ahmed Ali Amir fait pschitt et un bruit d’évier se vidant

Avili, il pédale dans la choucroute, s’infantilise et fait pitié

Par ARM

       Ahmed Ali Amir. AAA pour les intimes. Voilà un homme qui a grillé tout le capital de sympathie qu’il avait acquis en défendant la liberté de la presse aux Comores et qui, en acceptant de s’associer aux propagandistes du dictateur fou de Mitsoudjé, est devenu le complice d’une tyrannie atroce et débile. Il est entré à Bête-Salam pour travailler aux côtés d’un Saïd Ahmed Saïd Ali dit William Shakespeare, qui ose dire devant l’Ambassade des Comores à Paris à un combattant de la liberté: «Ton père est un voleur». Qui est ce dirigeant sérieux qui aurait à ses côtés un tel veau à deux têtes? On le savait répugnant, on le découvre ignoble et stupide, fier de jouer son rôle préféré de paltoquet prétentieux et sentencieux. Il est vulgaire et stupide. Les Comoriens lui vouent une haine épaisse à couper au couteau.

Ahmed Ali Amir a donc rejoint la fine équipe de communication du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Cette nomination avait surpris à plus d’un titre cet exilé comorien qui travaille depuis septembre 1991 avec deux des grands spécialistes engagés par leur chef d’État dans sa belle communication institutionnelle. Ces deux spécialistes ont été ses Professeurs à l’Université et ont gardé avec lui une relation professionnelle et d’échanges basée sur le respect, l’estime et la considération.

Avant de se discréditer en se tenant aux côtés d’un dictateur sadique, violent, inculte et borné, Ahmed Ali Amir aurait dû méditer ce mot de Voltaire: «Le seul moyen d’obliger les hommes à dire du bien de nous, c’est d’en faire». Mais, le preux chevalier blanc de la communication aux Comores, se ravalant au rang du misérable et haï Msa Ali Djamal, a cru que par miracle, il allait pouvoir changer l’image dégueulasse d’un dictateur dégueulasse. Eh bien, aujourd’hui, à l’heure d’un premier bilan, on découvre qu’Ahmed Ali Amir s’est fourvoyé parce que son chef n’a pas arrêté sa descente aux enfers. Il est le plus haï, le plus détesté, le plus honni, le plus maudit, le plus damné, le plus caricaturé, le plus insulté, le plus injurié et le plus contesté de tous les dirigeants comoriens, de Mathusalem et Moïse à nos jours.

Il est une chose fondamentale qu’Ahmed Ali Amir n’a pas comprise: on ne redresse jamais l’image déplorable d’un dirigeant qui ne fait jamais le bien: un peu de bien, beaucoup de publicité. On ne redresse jamais l’image maudite d’un dirigeant qui emprisonne tous ceux qui ne pensent pas comme lui, qui prive le peuple de tous ses droits et de toutes ses libertés, qui traite les Comoriens de «chiens» le 1er décembre 2018 avant de tomber devant la foule, qui tue le Droit, démantibule toutes les institutions du pays, s’enrichit vertigineusement par le vol d’argent public pendant que le peuple s’appauvrit considérablement, transforme l’État en chose de famille, élève ses idées au rang d’annexe du Coran, ou peut-être fait du Coran l’annexe de ses pensées à lui…

Ahmed Ali Amir doit se rendre à l’évidence: chaque jour, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri s’enfonce dans l’impopularité et dans la haine des Comoriens. Aucun spécialiste en communication ne peut le tirer de cette malédiction parce qu’il a choisi le Mal. Il peut continuer à se bercer d’illusions, mais dure sera la chute. Bon, on le félicite quand même parce qu’il est bien visible sur la photo de son maître accomplissant le petit pèlerinage chez ses patrons du Hedjaz et du Nedjd. C’est toujours ça de gagné.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 2 août 2019.


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